Tel que prévu, le groupe Chrysler a annoncé aujourd'hui avoir remboursé en totalité les 8,5 milliards (incluant les intérêts) qui lui avaient été prêtés par le Canada et les États-Unis en 2009, lorsque le fabricant était au bord du gouffre financier.
Un total de 6,5 milliards ont été restitués au ministère du Trésor américain, alors que 2 milliards viennent renflouer les coffres d'Exportation et développement Canada, la société de portefeuille à travers laquelle les gouvernements fédéral et provincial de l'Ontario ont consenti les prêts.
Selon les termes des ententes préalablement établies, le constructeur d'Auburn Hills devait ne remettre les sommes dues que dans six ans, mais a plutôt choisi de refinancer ses dettes afin de profiter de taux d'intérêt plus avantageux.
Le président et chef de la direction Sergio Marchionne a déclaré par voie de communiqué de presse que « les prêts [...] ont donné une rare seconde chance de démontrer ce que les gens de cette société pouvaient offrir » et qu'il avait « une dette de gratitude envers ceux dont l'intervention a permis au groupe Chrysler de se rétablir en tant que constructeur automobile fort et viable ».
Il a également mentionné que l'annonce d'aujourd'hui « marquait une nouvelle étape dans le projet visant à ce que l'entreprise soit de retour en tant que force concurrentielle dans l'industrie automobile mondiale ».
Un total de 6,5 milliards ont été restitués au ministère du Trésor américain, alors que 2 milliards viennent renflouer les coffres d'Exportation et développement Canada, la société de portefeuille à travers laquelle les gouvernements fédéral et provincial de l'Ontario ont consenti les prêts.
Selon les termes des ententes préalablement établies, le constructeur d'Auburn Hills devait ne remettre les sommes dues que dans six ans, mais a plutôt choisi de refinancer ses dettes afin de profiter de taux d'intérêt plus avantageux.
Le président et chef de la direction Sergio Marchionne a déclaré par voie de communiqué de presse que « les prêts [...] ont donné une rare seconde chance de démontrer ce que les gens de cette société pouvaient offrir » et qu'il avait « une dette de gratitude envers ceux dont l'intervention a permis au groupe Chrysler de se rétablir en tant que constructeur automobile fort et viable ».
Il a également mentionné que l'annonce d'aujourd'hui « marquait une nouvelle étape dans le projet visant à ce que l'entreprise soit de retour en tant que force concurrentielle dans l'industrie automobile mondiale ».