D'un strict point de vue du design en fait, il y a bien peu à reprocher à la Sebring cabriolet, et elle se marie à merveille dans le décor de nos routes.
Un moteur sans surprise
Il faut l'avouer, la Sebring cabriolet se déplace avec beaucoup d'aisance. Dans notre version d'essai, la plus haut de gamme cependant, on retrouvait le moteur V6 de 3,5 litres capable de produire plus de 235 chevaux. Inutile donc de préciser que, une fois le toit abaissé, les cheveux volent réellement dans le vent et n'ont aucune chance de rester collés sur la tête.
Plus sérieusement, les accélérations sont étonnantes, mais se font tout de même de façon linéaire sans à-coups ni brusquerie. Ce qu'on se surprend parfois à regretter un peu, histoire de donner du Oumpf à la conduite de la Sebring. Heureusement, la motorisation est capable de soutenir le régime assez longtemps pour permettre des reprises sans hésitation.
La direction est intéressante mais plutôt anonyme et demande souvent quelques corrections, surtout en milieu de trajectoire. Enfin, la tenue de route n'est pas sans reproche, mais est tout à fait à la hauteur, dans la mesure où vous ne traînez pas votre Sebring sur les circuits les plus sportifs.
La grande routière
Seul défaut, mais il est de taille, la Sebring avec le toit de toile ne s'est pas montrée à la hauteur des véritables grandes routières en termes de confort et d'insonorisation. Le toit laisse pénétrer les bruits éoliens avec insistance et oblige les passagers à hausser le ton à plus haut régime. Sur notre modèle d'essai, il laissait également pénétrer quelques gouttelettes d'eau lors d'une pluie torrentielle.
En matière de confort, les sièges n'offrent qu'un maintien relatif, surtout à l'arrière, bien que l'espace y soit réellement abondant. Et la conduite, plutôt sobre de la Sebring tire mal profit de la nouvelle répartition des masses et provoque quelques maux de tête lors des virages trop serrés.
Malgré tout, la Chrysler Sebring cabriolet est un choix à considérer. Elle a du style, de la gueule, un côté pratique et un toit qui s'enlève électriquement en quelques secondes sans qu'on s'échine à le faire soi-même. Tout cela à un prix tout à fait raisonnable et abordable. Un choix rationnel donc, à condition que notre conduite le soit tout autant.
photo:Marc Bouchard
Un moteur sans surprise
Il faut l'avouer, la Sebring cabriolet se déplace avec beaucoup d'aisance. Dans notre version d'essai, la plus haut de gamme cependant, on retrouvait le moteur V6 de 3,5 litres capable de produire plus de 235 chevaux. Inutile donc de préciser que, une fois le toit abaissé, les cheveux volent réellement dans le vent et n'ont aucune chance de rester collés sur la tête.
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| Le V6 de 3,5 litres est le plus puissant à être offert dans la Sebring. |
Plus sérieusement, les accélérations sont étonnantes, mais se font tout de même de façon linéaire sans à-coups ni brusquerie. Ce qu'on se surprend parfois à regretter un peu, histoire de donner du Oumpf à la conduite de la Sebring. Heureusement, la motorisation est capable de soutenir le régime assez longtemps pour permettre des reprises sans hésitation.
La direction est intéressante mais plutôt anonyme et demande souvent quelques corrections, surtout en milieu de trajectoire. Enfin, la tenue de route n'est pas sans reproche, mais est tout à fait à la hauteur, dans la mesure où vous ne traînez pas votre Sebring sur les circuits les plus sportifs.
La grande routière
Seul défaut, mais il est de taille, la Sebring avec le toit de toile ne s'est pas montrée à la hauteur des véritables grandes routières en termes de confort et d'insonorisation. Le toit laisse pénétrer les bruits éoliens avec insistance et oblige les passagers à hausser le ton à plus haut régime. Sur notre modèle d'essai, il laissait également pénétrer quelques gouttelettes d'eau lors d'une pluie torrentielle.
En matière de confort, les sièges n'offrent qu'un maintien relatif, surtout à l'arrière, bien que l'espace y soit réellement abondant. Et la conduite, plutôt sobre de la Sebring tire mal profit de la nouvelle répartition des masses et provoque quelques maux de tête lors des virages trop serrés.
Malgré tout, la Chrysler Sebring cabriolet est un choix à considérer. Elle a du style, de la gueule, un côté pratique et un toit qui s'enlève électriquement en quelques secondes sans qu'on s'échine à le faire soi-même. Tout cela à un prix tout à fait raisonnable et abordable. Un choix rationnel donc, à condition que notre conduite le soit tout autant.
photo:Marc Bouchard
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