Revenons au sujet de l'heure. La Town & Country 2011 démontre clairement que les designers ont fait de gros efforts pour rehausser la qualité des habitacles. Le nouvel intérieur s'avère élégant et nettement supérieur à l'ancien. Sans contredit, Chrysler sait être à l'écoute des consommateurs et surtout des critiques.
Le tableau de bord redessiné suit des lignes conservatrices mais favorisant une belle ergonomie. Encore mieux, le choix des matériaux, leur assemblage et la finition se situent à des années-lumière de la Town & Country précédente. Je n'ai pas particulièrement aimé le système de navigation fourni par Garmin, en revanche. L'interface se montre peu conviviale et l'affichage en soi figure sous la moyenne.
Bravo pour les baquets avant aux dimensions généreuses, qui procurent un confort certain, et spécialement pour le super système Stow n’ Go, la grande force de ces minifourgonnettes. Plus larges, plus hautes et plus invitantes que jamais, les places arrière séduisent leurs occupants. J'ai quand même noté une légère fragilité des sièges capitaines de la rangée médiane. Je n'y avais jamais porté attention auparavant, mais dans mon modèle d'essai, ils paraissaient manquer de solidité une fois secoués. Or, je me suis vite ravisé.
Les minifourgonnettes, c'est bien connu, offrent de l'espace à souhait, alors vous dire que la Town & Country surclasse la concurrence avec tous les dossiers relevés (+37 litres) mais qu'elle affiche un déficit avec ceux de la 3e rangée repliés (-69 litres) est, à mon avis, futile. Son habitacle peut engloutir une montagne et, si cela ne vous suffit pas, eh bien considérez une Chevrolet Express ou une Mercedes-Benz Sprinter.
L'autre grande nouveauté (certains parleraient d'une amélioration) s'avère le V6 Pentastar de 3,6 litres développant 283 chevaux. Ce moteur, utilisé à toutes les sauces par les temps qui courent, livre ici une puissance adéquate et une consommation acceptable, en plus de se montrer docile et raffiné. Je crois que tout est une question de poids. Plus légère, la berline Avenger que j'ai essayée dernièrement ne savait pas trop quoi faire d'une telle cavalerie. Avec la Town & Country, un peu d'effet de couple se fait sentir dans le volant lors des accélérations de moyenne à forte intensité, mais rien qui ne se compare à l'Avenger. Par contre, il reste la boîte de vitesses...
![]() |
| Le nouvel intérieur s'avère élégant et nettement supérieur à l'ancien. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |
Le tableau de bord redessiné suit des lignes conservatrices mais favorisant une belle ergonomie. Encore mieux, le choix des matériaux, leur assemblage et la finition se situent à des années-lumière de la Town & Country précédente. Je n'ai pas particulièrement aimé le système de navigation fourni par Garmin, en revanche. L'interface se montre peu conviviale et l'affichage en soi figure sous la moyenne.
Bravo pour les baquets avant aux dimensions généreuses, qui procurent un confort certain, et spécialement pour le super système Stow n’ Go, la grande force de ces minifourgonnettes. Plus larges, plus hautes et plus invitantes que jamais, les places arrière séduisent leurs occupants. J'ai quand même noté une légère fragilité des sièges capitaines de la rangée médiane. Je n'y avais jamais porté attention auparavant, mais dans mon modèle d'essai, ils paraissaient manquer de solidité une fois secoués. Or, je me suis vite ravisé.
Les minifourgonnettes, c'est bien connu, offrent de l'espace à souhait, alors vous dire que la Town & Country surclasse la concurrence avec tous les dossiers relevés (+37 litres) mais qu'elle affiche un déficit avec ceux de la 3e rangée repliés (-69 litres) est, à mon avis, futile. Son habitacle peut engloutir une montagne et, si cela ne vous suffit pas, eh bien considérez une Chevrolet Express ou une Mercedes-Benz Sprinter.
L'autre grande nouveauté (certains parleraient d'une amélioration) s'avère le V6 Pentastar de 3,6 litres développant 283 chevaux. Ce moteur, utilisé à toutes les sauces par les temps qui courent, livre ici une puissance adéquate et une consommation acceptable, en plus de se montrer docile et raffiné. Je crois que tout est une question de poids. Plus légère, la berline Avenger que j'ai essayée dernièrement ne savait pas trop quoi faire d'une telle cavalerie. Avec la Town & Country, un peu d'effet de couple se fait sentir dans le volant lors des accélérations de moyenne à forte intensité, mais rien qui ne se compare à l'Avenger. Par contre, il reste la boîte de vitesses...
![]() |
| L'autre grande nouveauté s'avère le V6 Pentastar de 3,6 litres développant 283 chevaux. (Photo: Sébastien D'Amour/Auto123.com) |







