Les passagers arrière n’ont aucun problème à atteindre la banquette grâce à une ouverture large des portes arrière ainsi qu’au dégagement abondant au niveau des jambes. L’espace pour la tête n’est pas à dédaigner non plus. En outre, comme le siège du conducteur se trouve légèrement surélevé, la personne assise derrière n’a pas les pieds coincés. Croyez-moi, la différence se fait nettement sentir.
J’ai particulièrement apprécié l’accoudoir central rabattable de la banquette, un autre item qui fait une grosse différence en termes de confort… et une raison de plus pour inviter des amis à s’asseoir à l’arrière. En prime, tout le monde a un porte-gobelet à sa disposition.
Au plan de la motorisation, la Dodge Avenger R/T 2010 possède un V6 de 3,5 litres qui génère 235 chevaux et 232 livres-pied de couple – assez pour rivaliser de près avec les Accord et Fusion à six cylindres. Je n’ai pas eu la chance d’essayer la version de base SE avec moteur à quatre cylindres de 2,4 litres développant 173 chevaux et boîte automatique à quatre rapports, mais j’ai appris de certains collègues que ce groupe motopropulseur performe adéquatement même s’il émet plus de bruit que le V6.
Pour moi, rien ne peut remplacer le moteur de la R/T, d’autant plus que la boîte automatique à six rapports qui l’accompagne favorise des passages ultra doux. Un mode manuel est même disponible; j’ai aimé m’en servir pour exploiter un peu mieux la fougue de l’engin. Quand on retarde les changements de rapport pour laisser le régime grimper de quelques centaines de tours, le moteur libère un son plutôt agréable aux oreilles.
En ville, j’ai trouvé la servodirection à assistance électrique bien dosée et communicative. Le nez de la voiture m’a cependant paru un peu long et la lunette arrière, un peu trop étroite, compliquant ainsi les stationnements en parallèle. Au moins, l’aileron sur le coffre devient un bon repère quand arrive le temps de reculer.
Sur l’autoroute, j’adore la transmission à six rapports. Les deux rapports additionnels rendent la conduite très décontractée à haute vitesse. J’ai remarqué que le niveau sonore à l’intérieur de l’Avenger était légèrement supérieur à celui de l’Altima ou de l’Accord, mais ce n’est rien d’intolérable.
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| Les passagers arrière n’ont aucun problème à atteindre la banquette grâce à une ouverture large des portes arrière ainsi qu’au dégagement abondant au niveau des jambes. (Photo: Dodge) |
J’ai particulièrement apprécié l’accoudoir central rabattable de la banquette, un autre item qui fait une grosse différence en termes de confort… et une raison de plus pour inviter des amis à s’asseoir à l’arrière. En prime, tout le monde a un porte-gobelet à sa disposition.
Au plan de la motorisation, la Dodge Avenger R/T 2010 possède un V6 de 3,5 litres qui génère 235 chevaux et 232 livres-pied de couple – assez pour rivaliser de près avec les Accord et Fusion à six cylindres. Je n’ai pas eu la chance d’essayer la version de base SE avec moteur à quatre cylindres de 2,4 litres développant 173 chevaux et boîte automatique à quatre rapports, mais j’ai appris de certains collègues que ce groupe motopropulseur performe adéquatement même s’il émet plus de bruit que le V6.
Pour moi, rien ne peut remplacer le moteur de la R/T, d’autant plus que la boîte automatique à six rapports qui l’accompagne favorise des passages ultra doux. Un mode manuel est même disponible; j’ai aimé m’en servir pour exploiter un peu mieux la fougue de l’engin. Quand on retarde les changements de rapport pour laisser le régime grimper de quelques centaines de tours, le moteur libère un son plutôt agréable aux oreilles.
En ville, j’ai trouvé la servodirection à assistance électrique bien dosée et communicative. Le nez de la voiture m’a cependant paru un peu long et la lunette arrière, un peu trop étroite, compliquant ainsi les stationnements en parallèle. Au moins, l’aileron sur le coffre devient un bon repère quand arrive le temps de reculer.
Sur l’autoroute, j’adore la transmission à six rapports. Les deux rapports additionnels rendent la conduite très décontractée à haute vitesse. J’ai remarqué que le niveau sonore à l’intérieur de l’Avenger était légèrement supérieur à celui de l’Altima ou de l’Accord, mais ce n’est rien d’intolérable.
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| En ville, j’ai trouvé la servodirection à assistance électrique bien dosée et communicative. (Photo: Dodge) |