Une tradition américaine
L’essence d’un Muscle Car américain ne se limite pas seulement à l’allure de mauvais garçon, mais également avec ce qui se cache sous le capot. En version R/T, Dodge reprend le V8 HEMI de 5,7 litres qui développe 375 chevaux (372 avec la transmission automatique) utilisé sur de nombreux autres produits de la marque au pentacle.
Le moteur répond très bien en accélération et la musique qui s’en dégage a de quoi faire rêver. Avec une telle cylindrée, on a une consommation en conséquence des performances puisqu’en moyenne, et sans trop d’excitation, j’ai maintenu environ 14L/100km.
Vive les lignes droites
La Challenger conserve l’esprit des années 70, même en matière de conduite. En lignes droites, elle accorde un pur plaisir, mais dès que les courbes et les lacets entrent dans la danse, la grosseur du véhicule et le poids général handicapent ses capacités. De plus, avec ses suspensions indépendantes aux quatre roues, le confort de roulement surprend.
La transmission à six rapports, malgré des courses assez longues se manipule très bien. Sur l’autoroute, on dirait même qu’elle dort à 1500 tr/min à 100km/h. En conduite « normale » la Challenger se montre assez agile dans toutes situations. Les freins offrent de très bonnes performances au quotidien, même s’ils se montrent moins endurants que ceux que l’on retrouve sur le SRT-8. La souplesse de la suspension rend la conduite très confortable.
Compétition
Malgré la présence sur le marché d’autres sportives, les seules vraies compétitrices de la Challenger, sont pour moi les Ford Mustang GT (à partir de 37 499 $) et Chevrolet Camaro 1SS (à partir de 36 995 $) de purs American Muscle Cars. La Challenger R/T débute à partir de 35 295 $.
Conclusion
La Challenger constitue avant tout un jouet. On achète cette voiture pour ce qu’elle représente, soit le plaisir de conduire sans raison particulière les fins de semaine. Elle demeure une machine extraordinaire, qui malheureusement, ne se sent pas au meilleur de sa forme en plein mois de janvier. On doit donc, comme pour le vélo, se résoudre à l’entreposer dans le garage pour la saison morte, et espérer que les beaux jours reviendront plus rapidement que prévu.
photo:Philippe Champoux
L’essence d’un Muscle Car américain ne se limite pas seulement à l’allure de mauvais garçon, mais également avec ce qui se cache sous le capot. En version R/T, Dodge reprend le V8 HEMI de 5,7 litres qui développe 375 chevaux (372 avec la transmission automatique) utilisé sur de nombreux autres produits de la marque au pentacle.
En version R/T, Dodge reprend le V8 HEMI de 5,7 litres qui développe 375 chevaux. |
Le moteur répond très bien en accélération et la musique qui s’en dégage a de quoi faire rêver. Avec une telle cylindrée, on a une consommation en conséquence des performances puisqu’en moyenne, et sans trop d’excitation, j’ai maintenu environ 14L/100km.
Vive les lignes droites
La Challenger conserve l’esprit des années 70, même en matière de conduite. En lignes droites, elle accorde un pur plaisir, mais dès que les courbes et les lacets entrent dans la danse, la grosseur du véhicule et le poids général handicapent ses capacités. De plus, avec ses suspensions indépendantes aux quatre roues, le confort de roulement surprend.
La transmission à six rapports, malgré des courses assez longues se manipule très bien. Sur l’autoroute, on dirait même qu’elle dort à 1500 tr/min à 100km/h. En conduite « normale » la Challenger se montre assez agile dans toutes situations. Les freins offrent de très bonnes performances au quotidien, même s’ils se montrent moins endurants que ceux que l’on retrouve sur le SRT-8. La souplesse de la suspension rend la conduite très confortable.
Compétition
Malgré la présence sur le marché d’autres sportives, les seules vraies compétitrices de la Challenger, sont pour moi les Ford Mustang GT (à partir de 37 499 $) et Chevrolet Camaro 1SS (à partir de 36 995 $) de purs American Muscle Cars. La Challenger R/T débute à partir de 35 295 $.
Conclusion
La Challenger constitue avant tout un jouet. On achète cette voiture pour ce qu’elle représente, soit le plaisir de conduire sans raison particulière les fins de semaine. Elle demeure une machine extraordinaire, qui malheureusement, ne se sent pas au meilleur de sa forme en plein mois de janvier. On doit donc, comme pour le vélo, se résoudre à l’entreposer dans le garage pour la saison morte, et espérer que les beaux jours reviendront plus rapidement que prévu.
La Challenger R/T débute à partir de 35 295 $. |
photo:Philippe Champoux