Verte et Virile
Même la plus ordinaire des Charger réussit à attirer l'attention des passants et des autres automobilistes. C'est en partie à cause de sa carrosserie musclée, en partie à cause de ses deux portes arrière controversées et en partie à cause de la curiosité et de la frénésie que suscite le fameux emblème HEMI.
Si la Charger de base fait tourner les têtes, imaginez alors l'effet que produit la redoutable version Daytona R/T. C'est assez pour que les yeux des admirateurs soient catapultés hors de leur orbite.
Lors de mon essai routier de l'exemplaire numéro 116 sur 150 de la série Vert Irlandais 2007, je me suis fait plusieurs nouveaux amis. Aucune autre voiture dans cette fourchette de prix n'a déjà incité autant les curieux à venir me poser des questions et me complimenter sur ma machine.
Voici les questions les plus fréquentes que j'ai entendues:
Y a un HEMI là-dedans?
Oui, monsieur!
Est-ce que c'est le gros HEMI? Celui de 406 po3?
Non et non. Il s'agit d'un V8 de 350 po3 (5,7 litres). Le gros HEMI dont vous parlez fait 6,1 litres et développe 425 chevaux, soit 75 de plus que le moteur de la Daytona R/T.
Comment va-t-elle sur la route?
Super. C'est une grosse et lourde voiture, surtout en raison de ses deux portes additionnelles qui allongent sa silhouette, mais le réputé HEMI ne semble pas s'en formaliser. Il commence vraiment à prendre vie vers 3000 tr/min et il faut seulement 14 secondes pour franchir le quart de mille, ce qui n'est vraiment pas mauvais pour une berline familiale.
Est-ce qu'elle tient bien la route?
Oui, mais la direction et les freins n'offrent pas assez de feedback; leur sensation est un peu trop artificielle et déconnectée de la route. Cela dit, la puissance de freinage est solide et l'adhérence est impressionnante.
Même la plus ordinaire des Charger réussit à attirer l'attention des passants et des autres automobilistes. C'est en partie à cause de sa carrosserie musclée, en partie à cause de ses deux portes arrière controversées et en partie à cause de la curiosité et de la frénésie que suscite le fameux emblème HEMI.
Si la Charger de base fait tourner les têtes, imaginez alors l'effet que produit la redoutable version Daytona R/T. C'est assez pour que les yeux des admirateurs soient catapultés hors de leur orbite.
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| Quelle que soit sa couleur, la Charger Daytona R/T est plus féroce qu'un taureau enragé. |
Lors de mon essai routier de l'exemplaire numéro 116 sur 150 de la série Vert Irlandais 2007, je me suis fait plusieurs nouveaux amis. Aucune autre voiture dans cette fourchette de prix n'a déjà incité autant les curieux à venir me poser des questions et me complimenter sur ma machine.
Voici les questions les plus fréquentes que j'ai entendues:
Y a un HEMI là-dedans?
Oui, monsieur!
Est-ce que c'est le gros HEMI? Celui de 406 po3?
Non et non. Il s'agit d'un V8 de 350 po3 (5,7 litres). Le gros HEMI dont vous parlez fait 6,1 litres et développe 425 chevaux, soit 75 de plus que le moteur de la Daytona R/T.
Comment va-t-elle sur la route?
Super. C'est une grosse et lourde voiture, surtout en raison de ses deux portes additionnelles qui allongent sa silhouette, mais le réputé HEMI ne semble pas s'en formaliser. Il commence vraiment à prendre vie vers 3000 tr/min et il faut seulement 14 secondes pour franchir le quart de mille, ce qui n'est vraiment pas mauvais pour une berline familiale.
Est-ce qu'elle tient bien la route?
Oui, mais la direction et les freins n'offrent pas assez de feedback; leur sensation est un peu trop artificielle et déconnectée de la route. Cela dit, la puissance de freinage est solide et l'adhérence est impressionnante.
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| Les roues chromées de 20 pouces et la peinture de couleur Vert Irlandais attirent l'attention partout où l'on va. |