Le triple champion du monde de WTCC Andy Priaulx a connu une saison 2012 pour le moins difficile. Il a conclu l’année en 13e position du classement général. Saura-t-il faire mieux l’an prochain?
« Je peux apprendre de ma saison 2012. Chaque série est différente, je savais donc d’entrée de jeu que ce ne serait pas facile », avoue le principal intéressé.
« C’était bien d’essayer quelque chose de nouveau, et je suis impatient de reprendre le volant en DTM », poursuit-il.
Le pilote de 39 ans aura tout de même fort à faire en 2013, s’il veut goûter à nouveau aux joies d’un titre, à commencer par battre le Canadien Bruno Spengler. Ce dernier a cimenté sa réputation en remportant le titre l’an passé.
D’une façon ou d’une autre, Priaulx est confiant qu’il ne sera plus limité à une maigre sixième place comme meilleur résultat.
« J’ai eu des hauts, dont ma sixième place de Hockenheim – les premiers points DTM de BMW en 20 ans d’absence – et des bas l’an passé, dont quelques abandons », admet-il.
« Mais ça, c’était l’année passée. Maintenant je me concentre sur 2013. »
« Je peux apprendre de ma saison 2012. Chaque série est différente, je savais donc d’entrée de jeu que ce ne serait pas facile », avoue le principal intéressé.
« C’était bien d’essayer quelque chose de nouveau, et je suis impatient de reprendre le volant en DTM », poursuit-il.
Le pilote de 39 ans aura tout de même fort à faire en 2013, s’il veut goûter à nouveau aux joies d’un titre, à commencer par battre le Canadien Bruno Spengler. Ce dernier a cimenté sa réputation en remportant le titre l’an passé.
D’une façon ou d’une autre, Priaulx est confiant qu’il ne sera plus limité à une maigre sixième place comme meilleur résultat.
« J’ai eu des hauts, dont ma sixième place de Hockenheim – les premiers points DTM de BMW en 20 ans d’absence – et des bas l’an passé, dont quelques abandons », admet-il.
« Mais ça, c’était l’année passée. Maintenant je me concentre sur 2013. »