Le pilote anglais Andy Priaulx, de la petite île de Guernsey, a décroché dimanche à Hockenheim son meilleur résultat en DTM, égalant une performance réalisée l’an dernier.
Priaulx, pilote super sympathique et 4 fois champion du monde de voitures de tourisme, pilote la BMW M3 DTM commanditée par Crowne Plaza. Sur le Hockenheimring, Priaulx s’est qualifié en 3e place et a croisé l’arrivée 6e.
Auto123.com a rencontré Priaulx dimanche pour discuter de ce gain soudain de performance.
« Ici (à Hockenheim), j’ai recommencé à freiner du pied droit, comme je l’ai toujours fait durant ma carrière », nous a-t-il expliqué.
« J’ai toujours freiné du pied droit jusqu’à ce que j’arrive en DTM et que les ingénieurs me disent de freiner du pied gauche, car c’est, selon eux, plus efficace. Je ne m’y suis jamais habitué. Et ce weekend, j’ai décidé de revenir en arrière. Je crois que ça fonctionne, car je me suis qualifié 3e. Je peux désormais freiner avec beaucoup plus de confiance. Je ressens beaucoup mieux les transferts de masse aux freinages et en entrées de virages. Cela se voit sur les datas enregistrés », de dire Priaulx.
Alors pourquoi n’a-t-il pas adapté son pilotage plus tôt?
« Vous savez, m’a-t-il confié, je n’ai effectué aucune séance d’essais depuis celle d’intersaison tenue à Barcelone l’hiver dernier. Je ne pilote ma voiture que lors des weekends de courses. Puisque nous avons énormément de travail à accomplir durant l’unique séance d’essais libres de 90 minutes, ce n’est pas le moment d’essayer de changer sa façon de conduire. Mais ici, puisqu’il s’agit de la dernière course de la saison, je me suis dit que je devais essayer », de raconter Priaulx.
Et ça a fonctionné pour lui.
Priaulx, pilote super sympathique et 4 fois champion du monde de voitures de tourisme, pilote la BMW M3 DTM commanditée par Crowne Plaza. Sur le Hockenheimring, Priaulx s’est qualifié en 3e place et a croisé l’arrivée 6e.
Auto123.com a rencontré Priaulx dimanche pour discuter de ce gain soudain de performance.
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| Andy Priaulx. (Photo: René Fagnan) |
« Ici (à Hockenheim), j’ai recommencé à freiner du pied droit, comme je l’ai toujours fait durant ma carrière », nous a-t-il expliqué.
« J’ai toujours freiné du pied droit jusqu’à ce que j’arrive en DTM et que les ingénieurs me disent de freiner du pied gauche, car c’est, selon eux, plus efficace. Je ne m’y suis jamais habitué. Et ce weekend, j’ai décidé de revenir en arrière. Je crois que ça fonctionne, car je me suis qualifié 3e. Je peux désormais freiner avec beaucoup plus de confiance. Je ressens beaucoup mieux les transferts de masse aux freinages et en entrées de virages. Cela se voit sur les datas enregistrés », de dire Priaulx.
Alors pourquoi n’a-t-il pas adapté son pilotage plus tôt?
« Vous savez, m’a-t-il confié, je n’ai effectué aucune séance d’essais depuis celle d’intersaison tenue à Barcelone l’hiver dernier. Je ne pilote ma voiture que lors des weekends de courses. Puisque nous avons énormément de travail à accomplir durant l’unique séance d’essais libres de 90 minutes, ce n’est pas le moment d’essayer de changer sa façon de conduire. Mais ici, puisqu’il s’agit de la dernière course de la saison, je me suis dit que je devais essayer », de raconter Priaulx.
Et ça a fonctionné pour lui.