L’Écorandonnée de l’AJAC a vraiment débuté ce matin du 21 juin 2018 au centre de la Ville de Moncton au Nouveau Brunswick. En fait, c’est la mairesse de la ville, Dawn Arnold et la ministre des Finances de la province, Cathy Rodgers qui ont agité le drapeau vert devant l’hôtel de ville signalant ainsi le départ des 19 journalistes canadiens membres de l’AJAC au volant des véhicules mentionnés dans le reportage d’hier.
Notons que la Ministre a souligné qu’au Nouveau-Brunswick, les propriétaires et touristes conduisant une voiture électrique ou rechargeable pouvaient désormais jouir de 18 bornes de recharge à haute vitesse et plus d’une trentaine de centre de recharge régulièrs ce qui fait que, depuis l’année dernière, près de 95% des attractions touristiques de la province sont desservies par des bornes pour voitures électriques.
Les administrateurs de l’ÉcoRandonnée ont, suite à la réponse des participants, accordé les véhicules à ceux-ci pour la première étape de la randonnée qui les a amené du centre-ville de Moncton à un centre de divertissement de la région de Sussex où certains véhicules avaient besoin d’être rechargés. Suite à cet arrêt d’une heure qui a permis aux journalistes de changer de voiture, le groupe est reparti vers Fredericton pour le lunch.
L’auteur de ces lignes, représentant Auto 123, a donc débuté le programme au volant de la toute nouvelle Toyota Prius Prime, une voiture hybride rechargeable dont l’autonomie électrique est d’environ 40 kilomètres. La petite voiture a donc avalé ses premiers kilomètres qu’en fonction électrique seulement avant de passer au moteur à essence (toujours aidé du moteur électrique selon les circonstances). Arrivé au centre de divertissement de Snider Mountain Ranch, l’ordinateur de bord indiquait alors une consommation moyenne de 2,6 litres aux 100 km pour une distance de quelque 108 kilomètres.
Lors du changement de véhicules, je me suis retrouvé au volant de la toute récente Mazda6 avec le quatre cylindres SkyActiv de 2,5 litres dont la présence à cet évènement est justifiée par le fait que c’est le premier quatre cylindres en Amérique à jouir de la désactivation de deux cylindres en vitesse de croisière. En fait , ce fut un choix judicieux puisque le tronçon de route que nous avions à faire pour se rendre au restaurant pour le dîner était en très grande partie sur la Route Transcanadienne, En plaçant le régulateur de vitesse à 90 km heure, j’ai obtenu une moyenne de 5,1 litres aux 100 kilomètres pour une distance de 111 kilomètres.
Le voyage se continue vers Saint John…
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