Les sièges demeurent une énigme pour moi. Leur niveau de confort est bon malgré que le dossier et le coussin de l'assise soient extrêmement fermes. Le soutien latéral est faible, quoique suffisant pour la conduite de tous les jours. C'est comme si je m'attendais à plus de ces sièges, malgré qu'ils ne m'aient pas réellement déçu. Je suppose que je suis resté accroché aux incroyables sièges baquets de la GLI que j'ai conduit vers la fin de 2004. Quand on se déplace avec trois passagers, tout le monde profitera de plein d'espace pour les jambes et les coudes, l'augmentation de la longueur profitant d'abord à ceux qui prennent place à l'arrière.
Technique
Pour les amateurs de statistiques, notons que la Jetta est disponible avec trois moteurs. Le premier est un 5 cylindres de 2,5 litres de 150 chevaux, qui est suivi d'un 4 cylindres turbodiesel de 1,9 litres qui produit 100 chevaux. La véritable source de sourires et de sensations est le moteur turbo à 4 cylindres de 2 litres qui développe 200 chevaux, et aussi 207 livres-pied de couple grâce en partie à l'injection directe. La Jetta offre un choix de quatre transmissions, à savoir une boîte manuelle à cinq rapports ou une automatique à six vitesses avec les modèles 2.5 et TDI, alors qu'en choisissant la 2.0T, le choix se fera entre une manuelle à six rapports et une boîte manuelle séquentielle directe à six rapports avec mode automatique. Chaque roue est munie d'un frein à disque, et la suspension est totalement indépendante. La direction est à assistance électromécanique avec un système d'assistance variable selon la vitesse.
Sur la route
Il s'agit de la quatrième voiture équipée de ce moteur turbo de 2 litres que je conduis. Dans la Passat avec la boîte automatique à six vitesses, il était superbe. Dans une Audi A3 munie de la transmission DSG, il avait du coeur. Dans la GTI, comment dire, la GTI est de retour! Dans la Jetta, le moteur est tout aussi énergique. Non seulement ses performances sont impressionnantes, avec un zéro-100 km/h sous la barre des sept secondes, mais sa sonorité démontre aussi de la puissance et de l'assurance. La réponse à l'accélération est immédiate, il n'y a aucun délai, et la voiture roule, et roule encore.
Les autres éléments impliqués dans la conduite de la voiture sont presque tous aussi impressionnants. Les freins sont aussi solides que les distances de freinage sont courtes. La pédale, toutefois, est beaucoup plus spongieuse que je ne l'aurais souhaité. Le pompage répété de ladite pédale la raffermit, mais elle redevenait spongieuse au cours de l'essai. Le grand volant transmet bien les sensations de la route au conducteur, et vice-versa. Chaque action transmise au volant se traduit immédiatement par une réaction positive et stimulante.
Malgré que la Jetta 2.0T mise à ma disposition soit dotée de la suspension sport, il était clair dans mon esprit que la conduite de la voiture n'allait pas être aussi inspirée que celle de la GTI. Les deux voitures étant équipées de pneus d'hiver performants, ceux-ci n'étaient donc pas un facteur qui influencerait le comportement de la voiture. Les
virages étaient plus vifs avec la GTI, et somme toute, la sportive à hayon était plus réactive. Ceci dit, la portée de la Jetta demeure compétente et plaisante.
J'ai trouvé bizarre que la ligne rouge de la voiture, indiquée sur le tachymètre, commence à 5750 tours-minute. Premièrement, la puissance maximum du moteur est atteinte entre 5500 et 6000 tours-minute, et deuxièmement, le moteur tourne joyeusement jusqu'à 7000 tours-minute. Ai-je manqué quelque chose? La voiture était-elle équipée par erreur d'un compte-tours de TDI?
Technique
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| La Volkswagen Jetta 2.0T 2006. (Photo: Amyot Bachand, Auto123.com) |
Sur la route
Il s'agit de la quatrième voiture équipée de ce moteur turbo de 2 litres que je conduis. Dans la Passat avec la boîte automatique à six vitesses, il était superbe. Dans une Audi A3 munie de la transmission DSG, il avait du coeur. Dans la GTI, comment dire, la GTI est de retour! Dans la Jetta, le moteur est tout aussi énergique. Non seulement ses performances sont impressionnantes, avec un zéro-100 km/h sous la barre des sept secondes, mais sa sonorité démontre aussi de la puissance et de l'assurance. La réponse à l'accélération est immédiate, il n'y a aucun délai, et la voiture roule, et roule encore.
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| La Volkswagen Jetta 2.0T 2006. (Photo: Amyot Bachand, Auto123.com) |
Malgré que la Jetta 2.0T mise à ma disposition soit dotée de la suspension sport, il était clair dans mon esprit que la conduite de la voiture n'allait pas être aussi inspirée que celle de la GTI. Les deux voitures étant équipées de pneus d'hiver performants, ceux-ci n'étaient donc pas un facteur qui influencerait le comportement de la voiture. Les
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| La Volkswagen Jetta 2.0T 2006. (Photo: Amyot Bachand, Auto123.com) |
J'ai trouvé bizarre que la ligne rouge de la voiture, indiquée sur le tachymètre, commence à 5750 tours-minute. Premièrement, la puissance maximum du moteur est atteinte entre 5500 et 6000 tours-minute, et deuxièmement, le moteur tourne joyeusement jusqu'à 7000 tours-minute. Ai-je manqué quelque chose? La voiture était-elle équipée par erreur d'un compte-tours de TDI?