D'après GMM
Bernie Ecclestone révèle ne pas être opposé à l'idée d'un retour au calendrier du grand prix de France.
Il y a quelques jours, les propriétaires du circuit de Magny-Cours laissaient entendre leurs efforts pour revenir au calendrier à partir de 2012.
Mais on sait que Bernie Ecclestone ne raffole pas de la localisation de Magny-Cours et avait poussé pour la tenue d'une grand prix proche de la capitale.
Le Britannique est aussi impliqué dans le complexe du circuit Paul Ricard dans la sud de la France.
Dans le journal L'Equipe, Bernie Ecclestone déclare : "Paul Ricard est probablement la meilleure place au monde. Mais nous n'avons pas de place pour une course."
Le milliardaire poursuit : "Vous savez le problème. Le grand prix de France a un avenir, mais où se trouve le promoteur ? Je pensais vraiment que le projet proche de Paris arriverait au bout."
Le Britannique est ouvert à trouver une place sur le calendrier pour la France, le lieu du tout premier grand prix en 1906.
"Je suis prêt à signer un contrat rapidement, le moment où quelqu'un viendra me voir en disant 'j'ai l'argent et le circuit'. Je serais heureux d'avoir une course en France," insiste Bernie Ecclestone.
Bernie Ecclestone révèle ne pas être opposé à l'idée d'un retour au calendrier du grand prix de France.
Il y a quelques jours, les propriétaires du circuit de Magny-Cours laissaient entendre leurs efforts pour revenir au calendrier à partir de 2012.
Mais on sait que Bernie Ecclestone ne raffole pas de la localisation de Magny-Cours et avait poussé pour la tenue d'une grand prix proche de la capitale.
Le Britannique est aussi impliqué dans le complexe du circuit Paul Ricard dans la sud de la France.
Dans le journal L'Equipe, Bernie Ecclestone déclare : "Paul Ricard est probablement la meilleure place au monde. Mais nous n'avons pas de place pour une course."
Le milliardaire poursuit : "Vous savez le problème. Le grand prix de France a un avenir, mais où se trouve le promoteur ? Je pensais vraiment que le projet proche de Paris arriverait au bout."
Le Britannique est ouvert à trouver une place sur le calendrier pour la France, le lieu du tout premier grand prix en 1906.
"Je suis prêt à signer un contrat rapidement, le moment où quelqu'un viendra me voir en disant 'j'ai l'argent et le circuit'. Je serais heureux d'avoir une course en France," insiste Bernie Ecclestone.