Adapté de GMM
Fernando Alonso ne croit pas que son ancienne équipe, McLaren, se prépare à passer la saison 2011 en milieu de peloton.
Interrogé par le quotidien El Pais sur l'apparente non compétitivité de la MP4-26, le pilote Ferrari répond : « Ils sont bien meilleurs qu'ils ne paraissent. Les essais hivernaux ne sont pas révélateurs. Ils disent qu'ils s'attendaient à mieux, mais peut-être qu'ils seront au même niveau que les meilleurs (en Australie) et puis prendront de l'avance ensuite ».
Fernando Alonso ajoute : « Nous verrons quand nous serons là-bas. McLaren ne se bat pas pour la dixième place, mais pour le podium ».
Interrogé sur les commentaires des pilotes concernant l'usure extrême des pneus Pirelli, le pilote espagnol indique que son principal problème est le freinage.
Il explique : « Avant (avec Bridgestone), on pouvait arriver en fin de vie des pneus et continuer de freiner de toutes ses forces. Maintenant, si on fait ça, on bloque les roues arrière. La motricité est aussi dégradée. Avant on pouvait écraser l'accélérateur en sortie de virage, mais maintenant il faut doser. Il faut un pilotage plus sensible ».
Fernando Alonso ne croit pas que son ancienne équipe, McLaren, se prépare à passer la saison 2011 en milieu de peloton.
Interrogé par le quotidien El Pais sur l'apparente non compétitivité de la MP4-26, le pilote Ferrari répond : « Ils sont bien meilleurs qu'ils ne paraissent. Les essais hivernaux ne sont pas révélateurs. Ils disent qu'ils s'attendaient à mieux, mais peut-être qu'ils seront au même niveau que les meilleurs (en Australie) et puis prendront de l'avance ensuite ».
Fernando Alonso ajoute : « Nous verrons quand nous serons là-bas. McLaren ne se bat pas pour la dixième place, mais pour le podium ».
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| McLaren MP4-26 (Photo: WRi2) |
Interrogé sur les commentaires des pilotes concernant l'usure extrême des pneus Pirelli, le pilote espagnol indique que son principal problème est le freinage.
Il explique : « Avant (avec Bridgestone), on pouvait arriver en fin de vie des pneus et continuer de freiner de toutes ses forces. Maintenant, si on fait ça, on bloque les roues arrière. La motricité est aussi dégradée. Avant on pouvait écraser l'accélérateur en sortie de virage, mais maintenant il faut doser. Il faut un pilotage plus sensible ».
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| Ferrari 150th Italia (Photo: WRi2) |