D'après GMM
Luca di Montezemolo ne donne pas de répit à Red Bull. Il affirme en effet que l’équipe autrichienne ne sait pas se comporter adéquatement en tant qu’équipe championne du monde.
Ferrari, qui est allée chercher le chef d’équipe chargé des stratégies chez Red Bull, Neil Martin, en plus de proposer un poste à plusieurs autres employés Red Bull, s’est fait reprocher par Helmut Marko de « chercher à acheter l’esprit sportif » de son équipe.
Di Montezemolo ne semble pas avoir apprécié la critique : « Je vois des gens qui ont gagné des championnats du monde et qui ne savent pas se comporter comme tels », a-t-il déclaré aux reporters dans les Dolomites italiennes lors d’un événement Ferrari.
« Ça fait partie du jeu [de perdre des membres de son équipe après un titre, NDLR]. Peut-être que quand ils auront remporté 10 pour cent des titres que nous détenons, ils comprendront mieux », a-t-il continué, ajoutant que Red Bull n’était tout simplement « pas habituée de gagner ».
Le patron Ferrari a par ailleurs également commenté les allégations voulant que Red Bull ait dépensé plus que permis par l’accord de restrictions des ressources en 2010.
Bien qu’il ait refusé de se positionner sur la culpabilité de ses rivaux, il a tenu à préciser que cela « confirme l’opinion de Ferrari que ces mesures sont artificielles et que nous n’approchons pas la réduction des coûts de la bonne manière ».
Luca di Montezemolo ne donne pas de répit à Red Bull. Il affirme en effet que l’équipe autrichienne ne sait pas se comporter adéquatement en tant qu’équipe championne du monde.
Ferrari, qui est allée chercher le chef d’équipe chargé des stratégies chez Red Bull, Neil Martin, en plus de proposer un poste à plusieurs autres employés Red Bull, s’est fait reprocher par Helmut Marko de « chercher à acheter l’esprit sportif » de son équipe.
Di Montezemolo ne semble pas avoir apprécié la critique : « Je vois des gens qui ont gagné des championnats du monde et qui ne savent pas se comporter comme tels », a-t-il déclaré aux reporters dans les Dolomites italiennes lors d’un événement Ferrari.
« Ça fait partie du jeu [de perdre des membres de son équipe après un titre, NDLR]. Peut-être que quand ils auront remporté 10 pour cent des titres que nous détenons, ils comprendront mieux », a-t-il continué, ajoutant que Red Bull n’était tout simplement « pas habituée de gagner ».
Le patron Ferrari a par ailleurs également commenté les allégations voulant que Red Bull ait dépensé plus que permis par l’accord de restrictions des ressources en 2010.
Bien qu’il ait refusé de se positionner sur la culpabilité de ses rivaux, il a tenu à préciser que cela « confirme l’opinion de Ferrari que ces mesures sont artificielles et que nous n’approchons pas la réduction des coûts de la bonne manière ».