Kevin Magnussen connaît son patron Ron Dennis depuis plusieurs années, même s’il dispute sa 1re saison au sein de l’écurie McLaren.
Magnussen et Dennis ont fait connaissance vers la fin des années 1990, quand le père de Kevin, Jan, pilotait pour l’écurie – et que Kevin lui-même n’était qu’un enfant.
Le Danois admet qu’il n'aurait probablement jamais rencontré Dennis sans son père, ni même fait carrière en F1.
« Je ne pense pas que je serais ici sans lui parce que McLaren ne se serait probablement jamais intéressée à moi », confie-t-il dans les pages de Crash.net.
« C’est difficile d’être certain, mais ils m’ont accueilli dans le programme de développement pour jeunes pilotes avant même que je ne décroche quoi que ce soit.
« Je n’étais même pas encore en F3 quand ils m’ont pris. »
Magnussen se souvient par ailleurs d’une vieille carte d’anniversaire signée par Ron Dennis : « Mon père pilotait pour McLaren. Je devais avoir 4 ans », raconte-t-il.
« Il m’a offert un cadeau, avec lequel il a envoyé une carte qui disait : ‘Si tu deviens aussi bon que ton père, appelle-moi.’
« Environ 10 ans plus tard, mon agent est tombé sur cette carte, que ma mère avait conservée. Il a recommandé qu’on appelle Ron immédiatement. »
Magnussen et Dennis ont fait connaissance vers la fin des années 1990, quand le père de Kevin, Jan, pilotait pour l’écurie – et que Kevin lui-même n’était qu’un enfant.
Le Danois admet qu’il n'aurait probablement jamais rencontré Dennis sans son père, ni même fait carrière en F1.
« Je ne pense pas que je serais ici sans lui parce que McLaren ne se serait probablement jamais intéressée à moi », confie-t-il dans les pages de Crash.net.
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| Kevin Magnussen en compagnie de Ron Dennis (Photo: WRI2) |
« C’est difficile d’être certain, mais ils m’ont accueilli dans le programme de développement pour jeunes pilotes avant même que je ne décroche quoi que ce soit.
« Je n’étais même pas encore en F3 quand ils m’ont pris. »
Magnussen se souvient par ailleurs d’une vieille carte d’anniversaire signée par Ron Dennis : « Mon père pilotait pour McLaren. Je devais avoir 4 ans », raconte-t-il.
« Il m’a offert un cadeau, avec lequel il a envoyé une carte qui disait : ‘Si tu deviens aussi bon que ton père, appelle-moi.’
« Environ 10 ans plus tard, mon agent est tombé sur cette carte, que ma mère avait conservée. Il a recommandé qu’on appelle Ron immédiatement. »