Par GMM
Un banquier et ancien dirigeant du sport automobile allemand nie être le sauveteur de l'écurie de Formule 1 Super Aguri.
Suite au retrait du Magma Group du plan de sauvetage de Super Aguri, quelques rumeurs ont commencé à circuler, dont celle qui implique un homme d'affaires allemand.
Le Dr Thomas Bscher, un ancien directeur du sport automobile allemand, a déclaré au magazine suisse Motorsport Aktuell qu'il n'avait pas l'intention de sauver l'écurie de F1 d'Aguri Suzuki.
Même s'il a été vu parmi les invités de l'écurie japonaise au dernier Grand Prix de Bahreïn, Bscher précise « je n'ai rien à voir avec les affaires de la Formule 1 ».
Il précise que « je ne m'impliquerais jamais avec une équipe de queue de peloton, car je doute qu'on arrive à faire de l'argent de cette façon ».
Il ajoute que si cette écurie - et pas une autre - l'avait invité au Grand Prix de Bahreïn n'était que pure coïncidence.
Un banquier et ancien dirigeant du sport automobile allemand nie être le sauveteur de l'écurie de Formule 1 Super Aguri.
Suite au retrait du Magma Group du plan de sauvetage de Super Aguri, quelques rumeurs ont commencé à circuler, dont celle qui implique un homme d'affaires allemand.
Le Dr Thomas Bscher, un ancien directeur du sport automobile allemand, a déclaré au magazine suisse Motorsport Aktuell qu'il n'avait pas l'intention de sauver l'écurie de F1 d'Aguri Suzuki.
Même s'il a été vu parmi les invités de l'écurie japonaise au dernier Grand Prix de Bahreïn, Bscher précise « je n'ai rien à voir avec les affaires de la Formule 1 ».
Il précise que « je ne m'impliquerais jamais avec une équipe de queue de peloton, car je doute qu'on arrive à faire de l'argent de cette façon ».
Il ajoute que si cette écurie - et pas une autre - l'avait invité au Grand Prix de Bahreïn n'était que pure coïncidence.