Le Groupe Caterham de Tony Fernandes a (évidemment) nié la rumeur qui veut que l’entreprise soit en vente, incluant l’écurie de Formule 1.
« Les nouvelles qui circulent depuis le week-end dernier sont incorrectes dans les faits », peut-on lire dans le communiqué de presse publié par l’écurie malaisienne mardi en fin de journée.
On peut par contre affirmerqu’il est vrai que le Groupe Caterham recherche activement des investissements supplémentaires afin de réaliser ses ambitieux plans de développement.
Les actionnaires du Groupe, Fernandes et Datuk Kamarudin Meranun, demeurent résolument déterminés à faire réussir la marque.
« Le Groupe Caterham n’est pas à vendre. Nous adorons ce que nous avons bâti, et nous sommes à la recherche d’investissements additionnels », de dire Fernandes dans le court communiqué de presse.
« Ceci ne diffère en rien de la façon dont nous avons démarré AirAsia. Oui, nous nous mettons constamment au défi et nous sommes impliqués dans les décisions du Groupe, que ce soit dans sa structure comme dans ses projets. C’est la façon normale d’opérer en affaires. Cela ne veut pas signifier que nous vendons », de marteler Fernandes.
« Les nouvelles qui circulent depuis le week-end dernier sont incorrectes dans les faits », peut-on lire dans le communiqué de presse publié par l’écurie malaisienne mardi en fin de journée.
On peut par contre affirmerqu’il est vrai que le Groupe Caterham recherche activement des investissements supplémentaires afin de réaliser ses ambitieux plans de développement.
Les actionnaires du Groupe, Fernandes et Datuk Kamarudin Meranun, demeurent résolument déterminés à faire réussir la marque.
« Le Groupe Caterham n’est pas à vendre. Nous adorons ce que nous avons bâti, et nous sommes à la recherche d’investissements additionnels », de dire Fernandes dans le court communiqué de presse.
« Ceci ne diffère en rien de la façon dont nous avons démarré AirAsia. Oui, nous nous mettons constamment au défi et nous sommes impliqués dans les décisions du Groupe, que ce soit dans sa structure comme dans ses projets. C’est la façon normale d’opérer en affaires. Cela ne veut pas signifier que nous vendons », de marteler Fernandes.