D'après GMM
Rob White, dirigeant de Renault Sport F1, se dit « inquiet » avec l'engagement de Gilles Simon par le motoriste PURE.
Après avoir quitté Ferrari, le concepteur de moteurs français avait joint la FIA en tant que responsable de la motorisation en F1, travaillant étroitement avec toutes les équipes.
Le responsable du motoriste Renault explique pourquoi les constructeurs ne sont pas confortables avec son engagement chez PURE, le motoriste qui prépare son arrivée pour 2014.
Rob White déclare : « Bien évidemment, cela nous inquiète tous. Dû à notre relation avec Gilles, nous lui avons donné accès à toutes nos informations ».
Il ajoute que « tous » les fabricants de moteurs en F1 ont travaillé étroitement avec Gilles Simon, « plus particulièrement » sur la conception du futur moteur turbo pour 2014.
« Nous devons nous assurer que les informations auxquelles Gilles avait accès en tant que représentant privilégié de la FIA ne seront pas reprises et réutilisées pour son nouvel emploi comme employé d'un nouveau concurrent », s'interroge Rob White.
Il y a une dizaine d'années, Charlie Whiting de la FIA, avait été empêché de joindre une équipe de F1 pour les mêmes raisons.
Rob White précise que la position de Gilles Simon est un « risque évident ».
Rob White, dirigeant de Renault Sport F1, se dit « inquiet » avec l'engagement de Gilles Simon par le motoriste PURE.
Après avoir quitté Ferrari, le concepteur de moteurs français avait joint la FIA en tant que responsable de la motorisation en F1, travaillant étroitement avec toutes les équipes.
Le responsable du motoriste Renault explique pourquoi les constructeurs ne sont pas confortables avec son engagement chez PURE, le motoriste qui prépare son arrivée pour 2014.
Rob White déclare : « Bien évidemment, cela nous inquiète tous. Dû à notre relation avec Gilles, nous lui avons donné accès à toutes nos informations ».
Il ajoute que « tous » les fabricants de moteurs en F1 ont travaillé étroitement avec Gilles Simon, « plus particulièrement » sur la conception du futur moteur turbo pour 2014.
« Nous devons nous assurer que les informations auxquelles Gilles avait accès en tant que représentant privilégié de la FIA ne seront pas reprises et réutilisées pour son nouvel emploi comme employé d'un nouveau concurrent », s'interroge Rob White.
Il y a une dizaine d'années, Charlie Whiting de la FIA, avait été empêché de joindre une équipe de F1 pour les mêmes raisons.
Rob White précise que la position de Gilles Simon est un « risque évident ».
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| Gilles Simon lorsqu'il était chez Ferrari - Photo: WRi2 |