D'après GMM
Red Bull a confirmé qu’une barre stabilisatrice brisée était la cause des déboires de Sebastian Vettel lors du dernier segment qualificatif en vue du Grand Prix de Turquie.
Le pilote avait été incapable de répéter ses meilleurs temps des deux premiers segments samedi. Heureusement, cette pièce n’est soumise à aucune réglementation spécifique. Red Bull pourra donc en installer une nouvelle sur la voiture du pilote sans que ce dernier ne soit pénalisé.
Chez Ferrari, Fernando Alonso pointe du doigt une absence de nouveaux développements pour expliquer les contre-performances de l’équipe au cheval cabré en Turquie.
Felipe Massa a pris le huitième rang samedi contre une douzième position sur la grille pour Alonso. « En Chine, Espagne, Monaco et ici, en Turquie, nous n’avons ajouté aucun développement alors que Red Bull, McLaren et Mercedes se sont toutes améliorées », a déclaré l'Espagnol.
Ce dernier a été rabroué par les médias européens pour ses erreurs constantes. « Erreurs?! Je freine tard pour essayer de rattraper la voiture et l’arrière braque. Si c’est ce que vous appelez une erreur… », a ajouté le double champion, visiblement irrité après une qualification désastreuse.
Quant à Cosworth, les problèmes sont de plus en plus clairs au fur et à mesure que le temps passe : les pilotes propulsés par ce manufacturier sont simplement incapables d’être dans le coup.
Rubens Barrichello décrivait après la qualification : « Notre moteur ne fonctionne simplement pas. Notre vitesse en ligne droite est tellement mauvaise. »
Luca di Grassi n’était pas plus impressionné, lui qui a subi l’injure de voir une HRT faire mieux que sa Virgin (enfin) améliorée samedi. « Mon tour était bon. La voiture était bonne dans les virages. Nous n’avons simplement aucune puissance moteur, ni en accélération, ni en ligne droite. »
La recrue brésilienne se console toutefois : un nouveau moteur sera installé sur sa voiture dimanche.
Red Bull a confirmé qu’une barre stabilisatrice brisée était la cause des déboires de Sebastian Vettel lors du dernier segment qualificatif en vue du Grand Prix de Turquie.
Le pilote avait été incapable de répéter ses meilleurs temps des deux premiers segments samedi. Heureusement, cette pièce n’est soumise à aucune réglementation spécifique. Red Bull pourra donc en installer une nouvelle sur la voiture du pilote sans que ce dernier ne soit pénalisé.
Chez Ferrari, Fernando Alonso pointe du doigt une absence de nouveaux développements pour expliquer les contre-performances de l’équipe au cheval cabré en Turquie.
Felipe Massa a pris le huitième rang samedi contre une douzième position sur la grille pour Alonso. « En Chine, Espagne, Monaco et ici, en Turquie, nous n’avons ajouté aucun développement alors que Red Bull, McLaren et Mercedes se sont toutes améliorées », a déclaré l'Espagnol.
Ce dernier a été rabroué par les médias européens pour ses erreurs constantes. « Erreurs?! Je freine tard pour essayer de rattraper la voiture et l’arrière braque. Si c’est ce que vous appelez une erreur… », a ajouté le double champion, visiblement irrité après une qualification désastreuse.
Quant à Cosworth, les problèmes sont de plus en plus clairs au fur et à mesure que le temps passe : les pilotes propulsés par ce manufacturier sont simplement incapables d’être dans le coup.
Rubens Barrichello décrivait après la qualification : « Notre moteur ne fonctionne simplement pas. Notre vitesse en ligne droite est tellement mauvaise. »
Luca di Grassi n’était pas plus impressionné, lui qui a subi l’injure de voir une HRT faire mieux que sa Virgin (enfin) améliorée samedi. « Mon tour était bon. La voiture était bonne dans les virages. Nous n’avons simplement aucune puissance moteur, ni en accélération, ni en ligne droite. »
La recrue brésilienne se console toutefois : un nouveau moteur sera installé sur sa voiture dimanche.