D’après GMM
Une rumeur veut que Bruno Senna s’apprête à remplacer Nick Heidfeld, lui-même remplaçant de Robert Kubica au sein de l’écurie Lotus Renault GP.
Selon le magazine allemand Auto Motor und Sport, le propriétaire de l’écurie, Gérard Lopez, a passé du temps au Brésil, pays natif du pilote de réserve Bruno Senna, avant le Grand Prix du Canada.
L’homme d’affaires était, semble-t-il, à la recherche de commanditaires afin de placer Senna dans le baquet de Heidfeld qui serait sous pression après quelques courses décevantes.
L’écurie Lotus Renault GP a minimisé les rumeurs qui faisaient état d’ennuis financiers et de liquidités.
Mais le magazine allemand revient à la charge et affirme que l’écurie « a un besoin pressant d’argent » pour payer ses factures courantes ainsi que celles de son fournisseur de moteurs, Renault Sport.
On croit toutefois que la place de Heidfeld n’est pas immédiatement menacée, même s’il a terminé sa course à Montréal dans le rail après avoir percuté l’arrière de la Sauber de Kamui Kobayashi.
« Jusqu’au moment de son accident, il disputait une course parfaite, » de dire le patron de l’écurie Éric Boullier.
Une rumeur veut que Bruno Senna s’apprête à remplacer Nick Heidfeld, lui-même remplaçant de Robert Kubica au sein de l’écurie Lotus Renault GP.
Selon le magazine allemand Auto Motor und Sport, le propriétaire de l’écurie, Gérard Lopez, a passé du temps au Brésil, pays natif du pilote de réserve Bruno Senna, avant le Grand Prix du Canada.
Bruno Senna (Photo: René Fagnan/Auto123.com) |
L’homme d’affaires était, semble-t-il, à la recherche de commanditaires afin de placer Senna dans le baquet de Heidfeld qui serait sous pression après quelques courses décevantes.
L’écurie Lotus Renault GP a minimisé les rumeurs qui faisaient état d’ennuis financiers et de liquidités.
Mais le magazine allemand revient à la charge et affirme que l’écurie « a un besoin pressant d’argent » pour payer ses factures courantes ainsi que celles de son fournisseur de moteurs, Renault Sport.
On croit toutefois que la place de Heidfeld n’est pas immédiatement menacée, même s’il a terminé sa course à Montréal dans le rail après avoir percuté l’arrière de la Sauber de Kamui Kobayashi.
« Jusqu’au moment de son accident, il disputait une course parfaite, » de dire le patron de l’écurie Éric Boullier.