D'après GMM
Le patron de l'écurie de Formule 1 Vodafone McLaren-Mercedes, Ron Dennis, a nié aujourd'hui que l'équipe avait donné des ordres durant le Grand Prix d'Allemagne, obligeant Heikki Kovalainen à laisser passer son équipier, Lewis Hamilton.
Après avoir effectué son 2e ravitaillement, Hamilton s'est retrouvé à rouler derrière Kovalainen. Après un demi-tour de piste, il semble que Kovalainen se soit écarté de la trajectoire pour laisser passer Hamilton.
Depuis 2002, la FIA interdit aux équipes de sonner des ordres à leurs pilotes qui influenceraient le résultat des courses.
« La seule chose que nous faisons est d'avertir nos pilotes de leur rythme en piste. La décision finale leur revient, » a déclaré Dennis.
« Lewis était près d'une seconde plus vite au tour que Heikki. Quand on l'en a informé, il lui a cédé le passage. C'était un beau geste sportif, » a ajouté Dennis.
« Heikki savait parfaitement qu'il était plus lent et que s'il bloquait le passage à Lewis, ce dernier aurait manqué de temps pour reprendre la tête de la course. C'est le devoir d'une équipe de course que de fonctionner de cette façon. Les vrais coéquipiers comprennent la situation. »
Le patron de l'écurie de Formule 1 Vodafone McLaren-Mercedes, Ron Dennis, a nié aujourd'hui que l'équipe avait donné des ordres durant le Grand Prix d'Allemagne, obligeant Heikki Kovalainen à laisser passer son équipier, Lewis Hamilton.
Après avoir effectué son 2e ravitaillement, Hamilton s'est retrouvé à rouler derrière Kovalainen. Après un demi-tour de piste, il semble que Kovalainen se soit écarté de la trajectoire pour laisser passer Hamilton.
Depuis 2002, la FIA interdit aux équipes de sonner des ordres à leurs pilotes qui influenceraient le résultat des courses.
« La seule chose que nous faisons est d'avertir nos pilotes de leur rythme en piste. La décision finale leur revient, » a déclaré Dennis.
« Lewis était près d'une seconde plus vite au tour que Heikki. Quand on l'en a informé, il lui a cédé le passage. C'était un beau geste sportif, » a ajouté Dennis.
« Heikki savait parfaitement qu'il était plus lent et que s'il bloquait le passage à Lewis, ce dernier aurait manqué de temps pour reprendre la tête de la course. C'est le devoir d'une équipe de course que de fonctionner de cette façon. Les vrais coéquipiers comprennent la situation. »