Le journal britannique The Guardian a révélé que l’écurie de F1 Mercedes fournirait jeudi prochain à Paris lors de son audience avec la FIA, la preuve écrite qui justifiait sa participation à des essais privés avec Pirelli à Barcelone.
Le paddock s’était soulevé en apprenant que Mercedes avait couvert plusieurs milliers de kilomètres sur la piste espagnole dans les jours qui avaient suivi le Grand Prix d’Espagne, avec sa monoplace actuelle et des gommes Pirelli.
La nouvelle avait bien sûr entaché la victoire subséquente de Nico Rosberg au Grand Prix de Monaco, à bord de sa Flèche d’Argent.
Les écuries rivales Red Bull et Ferrari étaient allées jusqu’à contester le résultat avant même que le départ ne soit donné. On était furieux que Mercedes ait enfreint de manière aussi flagrante le règlement interdisant les essais avec une voiture vieille de moins de deux ans.
On sait maintenant grâce au Guardian que Mercedes compte bien prouver hors de tout doute, à l’aide d’un courriel, qu’elle avait reçu la permission de tester.
« Difficile de croire que Ross Brawn, le patron de l’écurie Mercedes dont la réputation n’est plus à faire, aurait donné son aval sans être absolument sûr qu’il était dans son droit », écrit Paul Weaver, le journaliste du Guardian qui a rapporté la nouvelle.
Le paddock s’était soulevé en apprenant que Mercedes avait couvert plusieurs milliers de kilomètres sur la piste espagnole dans les jours qui avaient suivi le Grand Prix d’Espagne, avec sa monoplace actuelle et des gommes Pirelli.
La nouvelle avait bien sûr entaché la victoire subséquente de Nico Rosberg au Grand Prix de Monaco, à bord de sa Flèche d’Argent.
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| Le patron de l'écurie Mercedes Ross Brawn (Photo: WRi2) |
Les écuries rivales Red Bull et Ferrari étaient allées jusqu’à contester le résultat avant même que le départ ne soit donné. On était furieux que Mercedes ait enfreint de manière aussi flagrante le règlement interdisant les essais avec une voiture vieille de moins de deux ans.
On sait maintenant grâce au Guardian que Mercedes compte bien prouver hors de tout doute, à l’aide d’un courriel, qu’elle avait reçu la permission de tester.
« Difficile de croire que Ross Brawn, le patron de l’écurie Mercedes dont la réputation n’est plus à faire, aurait donné son aval sans être absolument sûr qu’il était dans son droit », écrit Paul Weaver, le journaliste du Guardian qui a rapporté la nouvelle.