D'après GMM
Nick Heidfeld trouve que Renault est une équipe plus réceptive que BMW-Sauber, équipe pour laquelle il pilotait dans le passé.
L'Allemand, qui remplace Robert Kubica, blessé à la main en rallye avant le début de la saison, a fait équipe avec ce dernier durant plusieurs années chez BMW-Sauber avant que BMW se retire en 2009.
« Renault est très ouverte », a déclaré le pilote de 33 ans.
« Mes idées et les critiques constructives que j'ai à formuler sont toujours les bienvenues. Je n’ai jamais vu autant d’ouverture dans une autre équipe.
« Bien entendu tout n’est pas adopté, mais le dialogue est toujours présent et c’est extrêmement agréable.
« La voiture 2011 était déjà prête quand je me suis joint à l’équipe, mais j’ai tout de même pu apporter mes connaissances dans plusieurs domaines », a-t-il expliqué.
Heidfeld a admis que Sauber figurait plutôt dans la catégorie des équipes « peu ouvertes » alors que c’est tout le contraire chez Renault.
« Ils sont très très organisés [chez Sauber], mais c’est parfois trop limitatif. Ils ne dérogent jamais du plan, même pas pour faire un pas à droite ou à gauche. »
Nick Heidfeld trouve que Renault est une équipe plus réceptive que BMW-Sauber, équipe pour laquelle il pilotait dans le passé.
L'Allemand, qui remplace Robert Kubica, blessé à la main en rallye avant le début de la saison, a fait équipe avec ce dernier durant plusieurs années chez BMW-Sauber avant que BMW se retire en 2009.
« Renault est très ouverte », a déclaré le pilote de 33 ans.
« Mes idées et les critiques constructives que j'ai à formuler sont toujours les bienvenues. Je n’ai jamais vu autant d’ouverture dans une autre équipe.
« Bien entendu tout n’est pas adopté, mais le dialogue est toujours présent et c’est extrêmement agréable.
« La voiture 2011 était déjà prête quand je me suis joint à l’équipe, mais j’ai tout de même pu apporter mes connaissances dans plusieurs domaines », a-t-il expliqué.
Heidfeld a admis que Sauber figurait plutôt dans la catégorie des équipes « peu ouvertes » alors que c’est tout le contraire chez Renault.
« Ils sont très très organisés [chez Sauber], mais c’est parfois trop limitatif. Ils ne dérogent jamais du plan, même pas pour faire un pas à droite ou à gauche. »