D'après GMM
Les patrons de Red Bull ont menacé de ne pas prendre le départ du Grand Prix de Grande-Bretagne, samedi, alors que la FIA lui enlevait toute exemption dans la saga des échappements soufflants.
Christian Horner était apparemment furieux lorsque la concession des 50 pour cent de gaz chauds au freinage lui a été retirée samedi. Allant de rencontre en rencontre avec Bernie Ecclestone et la FIA, il a menacé de quitter Silverstone.
« Ecclestone a persuadé Horner de rester », écrit le Bild am Sonntag.
Red Bull a donc accepté la situation en attendant une rencontre avec toutes les équipes dimanche, où il serait proposé de revenir aux règles d'avant Silverstone, et ce, jusqu'à la saison prochaine.
« Ça serait la situation la plus juste pour tout le monde, mais l'intérêt personnel de certaines équipes pourrait jouer un rôle important », a expliqué le patron McLaren Martin Whitmarsh.
Williams et Sauber auraient eu des doutes quant à la ratification de cette nouvelle clause - qui doit obtenir l'unanimité. Williams affirmait attendre les directives de Cosworth. Quant à Fernando Alonso, il ne veut pas s'en mêler.
« Nous sommes trop individualistes dans notre petit monde fermé », a pour sa part indiqué le patron Ferrari, Stefano Domenicalli.
« Les amateurs se foutent éperdument des gaz d'échappement, qu'ils soient chauds ou froids. Nous devons discuter sur une autre plateforme. C'est le plus gros défi que notre sport aura à relever pour le futur de la F1 », a-t-il ajouté.
Les patrons de Red Bull ont menacé de ne pas prendre le départ du Grand Prix de Grande-Bretagne, samedi, alors que la FIA lui enlevait toute exemption dans la saga des échappements soufflants.
Christian Horner était apparemment furieux lorsque la concession des 50 pour cent de gaz chauds au freinage lui a été retirée samedi. Allant de rencontre en rencontre avec Bernie Ecclestone et la FIA, il a menacé de quitter Silverstone.
« Ecclestone a persuadé Horner de rester », écrit le Bild am Sonntag.
Red Bull a donc accepté la situation en attendant une rencontre avec toutes les équipes dimanche, où il serait proposé de revenir aux règles d'avant Silverstone, et ce, jusqu'à la saison prochaine.
« Ça serait la situation la plus juste pour tout le monde, mais l'intérêt personnel de certaines équipes pourrait jouer un rôle important », a expliqué le patron McLaren Martin Whitmarsh.
Williams et Sauber auraient eu des doutes quant à la ratification de cette nouvelle clause - qui doit obtenir l'unanimité. Williams affirmait attendre les directives de Cosworth. Quant à Fernando Alonso, il ne veut pas s'en mêler.
« Nous sommes trop individualistes dans notre petit monde fermé », a pour sa part indiqué le patron Ferrari, Stefano Domenicalli.
« Les amateurs se foutent éperdument des gaz d'échappement, qu'ils soient chauds ou froids. Nous devons discuter sur une autre plateforme. C'est le plus gros défi que notre sport aura à relever pour le futur de la F1 », a-t-il ajouté.