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F1: Sur le marché des transferts, Räikkönen est trop cher, Heidfeld est une option d'expérience

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Khatir Soltani
D'après GMM

Apparemment Kimi Räikkönen demande un salaire exorbitant, du coup Nick Heidfeld sort de l'oubli et devient une option pour plusieurs équipes au regard de son expérience.

Chez Toyota, le président John Howett insiste qu'aucun accord ne sera possible avec Kimi Räikkönen tant qu'il ne baissera pas son tarif.

Kimi Räikkönen aurait reçu 25 millions d'euros de la part de Ferrari pour rompre son contrat 2010, et on croit que son gérant demande la même somme par année de salaire à McLaren et Toyota.

John Howett a révélé au Brésil que l'équipe japonaise basée à Cologne a fait une offre au Finlandais Kimi Räikkönen.

Dans le magazine suisse Motorsport Aktuell, le président de Toyota Motorsport explique : "Il nous a fait une contre-offre bien trop élevée. Il dit qu'il a le choix entre deux options, nous allons donc attendre."

De son côté, McLaren lorgne du côté de Nick Heidfeld pour remplacer Heikki Kovalainen en 2010, alors que s'on attendait à un retour de Räikkönen.

En parlant de Nick Heidfeld, Martin Whitmarsh, le patron de McLaren déclare: "En Formule Un, il est l'un des pilotes les plus sous-évalués."

Et Norbert Haug ajoute : "Il (Heidfeld) a plus de dix années de performances solides et constantes."

Lewis Hamilton ne veut pas partager l'équipe avec un pilote comme Nico Rosberg ou Kimi Räikkönen. Selon le journal allemand Abendzeitung, c'est aussi pour cette raison que Nick Heidfeld est apparu comme un candidat sérieux.

Un autre journal allemand Bild indique que Nick Heidfeld est aussi en contact avec Renault pour remplacer Romain Grosjean et détaille la carrière de l'Allemand qui a débuté en 2000 chez Prost Grand Prix, a roulé chez Sauber, Jordan, Williams et BMW sans jamais remporter une victoire.



Khatir Soltani
Khatir Soltani
Expert automobile
  • Plus de 6 ans d'expérience en tant qu’essayiste automobile
  • Plus de 50 essais réalisés au cours de la dernière année
  • Participation à des discussions avec la quasi-totalité des manufacturiers au Canada