D’après GMM
Un membre du conseil d’administration du fonds d’investissement CVC, qui détient les droits commerciaux de la Formule 1, a déclaré que Bernie Ecclestone aurait dû démissionner suite à ses fameux propos sur Adolf Hitler.
Donald MacKenzie, directeur associé de CVC, est intervenu cette semaine dans ce dossier en niant qu’Ecclestone risquait d’être écarté de la position pour être placé à un poste honorifique.
Toutefois, d’autres dirigeants de CVC, une des sociétés de financement par capitaux privés les plus importantes au monde, ont des opinions beaucoup plus tranchées. Un de ceux-ci est Sir Martin Sorrell.
On croit que Sorrell, d’origine juive, a demandé à Ecclestone de ne pas assister au Grand Prix d’Allemagne le week-end dernier, conseil que n’a pas suivi le milliardaire Britannique.
« Ses références (à Adolf Hitler) étaient ignobles, » a-t-il déclaré au quotidien Daily Mail.
« Il s’est excusé, mais seulement après avoir été conseillé de le faire. Un membre du conseil d’administration de n’importe quelle autre entreprise qui aurait tenu de tels propos aurait été évincé sur le champ, » de dire Sir Sorrell.
photo:WRI2
Un membre du conseil d’administration du fonds d’investissement CVC, qui détient les droits commerciaux de la Formule 1, a déclaré que Bernie Ecclestone aurait dû démissionner suite à ses fameux propos sur Adolf Hitler.
Donald MacKenzie, directeur associé de CVC, est intervenu cette semaine dans ce dossier en niant qu’Ecclestone risquait d’être écarté de la position pour être placé à un poste honorifique.
Toutefois, d’autres dirigeants de CVC, une des sociétés de financement par capitaux privés les plus importantes au monde, ont des opinions beaucoup plus tranchées. Un de ceux-ci est Sir Martin Sorrell.
On croit que Sorrell, d’origine juive, a demandé à Ecclestone de ne pas assister au Grand Prix d’Allemagne le week-end dernier, conseil que n’a pas suivi le milliardaire Britannique.
« Ses références (à Adolf Hitler) étaient ignobles, » a-t-il déclaré au quotidien Daily Mail.
« Il s’est excusé, mais seulement après avoir été conseillé de le faire. Un membre du conseil d’administration de n’importe quelle autre entreprise qui aurait tenu de tels propos aurait été évincé sur le champ, » de dire Sir Sorrell.
photo:WRI2