La FIA a tranché : il n’y aura qu’une seule, et non pas deux, zone d’activation du dispositif de réduction de traînée sur le circuit de Hongaroring ce week-end lors du Grand Prix de Hongrie.
La FIA, basée à Paris, a décidé de n’avoir qu’une seule zone sur ce circuit lent et qui exige d’importants appuis aérodynamiques.
Le point de détection sera situé juste avant l’entrée du dernier virage à droite, tandis que la zone d’activation commencera 70m après le point de corde du dernier virage.
Toutefois, les pilotes et ingénieurs ont de sérieux doutes quant à l’efficacité de ce dispositif, car ils craignent qu’il ne sera pas plus facile de doubler qu’auparavant.
« Comme à Monaco, tout se joue en qualification au Hungaroring. Le DRS changera un petit peu la donne, mais cela restera très difficile de dépasser, » de dire James Allison, directeur technique de Lotus Renault GP.
« Pour faire un bon tour en qualification, cela nécessitera une voiture réglée avec beaucoup d’appui et capable d’absorber les bosses sur la piste. »
Allison confirme que l’écurie basée à Enstone travaille très fort afin de refaire son retard et revenir parmi le peloton de tête.
« Nous prévoyons beaucoup de développements lors des cinq prochaines courses. Ils sont largement le fruit de recherches qui sont déjà achevées. Il nous reste à les dessiner et à les fabriquer pour les utiliser en course. À la fin de la pause estivale, la plupart de nos moyens sur la recherche et la moitié environ de notre capacité de fabrication seront transférés sur la voiture de l’année prochaine, » de terminer Allison.
La FIA, basée à Paris, a décidé de n’avoir qu’une seule zone sur ce circuit lent et qui exige d’importants appuis aérodynamiques.
Le point de détection sera situé juste avant l’entrée du dernier virage à droite, tandis que la zone d’activation commencera 70m après le point de corde du dernier virage.
(Image: FIA) |
Toutefois, les pilotes et ingénieurs ont de sérieux doutes quant à l’efficacité de ce dispositif, car ils craignent qu’il ne sera pas plus facile de doubler qu’auparavant.
« Comme à Monaco, tout se joue en qualification au Hungaroring. Le DRS changera un petit peu la donne, mais cela restera très difficile de dépasser, » de dire James Allison, directeur technique de Lotus Renault GP.
« Pour faire un bon tour en qualification, cela nécessitera une voiture réglée avec beaucoup d’appui et capable d’absorber les bosses sur la piste. »
Allison confirme que l’écurie basée à Enstone travaille très fort afin de refaire son retard et revenir parmi le peloton de tête.
« Nous prévoyons beaucoup de développements lors des cinq prochaines courses. Ils sont largement le fruit de recherches qui sont déjà achevées. Il nous reste à les dessiner et à les fabriquer pour les utiliser en course. À la fin de la pause estivale, la plupart de nos moyens sur la recherche et la moitié environ de notre capacité de fabrication seront transférés sur la voiture de l’année prochaine, » de terminer Allison.