Une des propositions mises de l’avant pour abaisser les coûts en Formule 1 est de réduire de façon significative le nombre de journées d’essais autorisées.
Le magazine britannique Autosport écrit aujourd’hui que parmi les propositions étudiées par la FIA et les écuries s’en trouve une qui révise complètement la réglementation des essais.
Autosport a appris que cette proposition inclurait une interdiction des essais durant la saison et réduirait à deux, au lieu de trois, le nombre de séances d’essais pré-saison.
Toutefois, les équipes sont divisées quant à la pertinence de ces essais.
Certaines écuries affirment qu’ils sont essentiels pour effectuer le développement des voitures tandis que d’autres clament qu’elles ne servent à rien, sinon qu’à faire rouler des recrues sans expérience, et font gaspiller de l’argent.
James Allison, directeur technique de la Scuderia Ferrari, croit qu’une limitation des essais est une façon beaucoup plus efficace de réduire les coûts que de modifier la réglementation technique.
Par contre, Éric Boullier, directeur de la compétition chez McLaren, n’est pas de cet avis.
Boullier avance que trop de changements aux règlements en peu de temps provoque l’effet inverse de ce qui est recherché et ne fait que dépenser plus d’argent.
Le magazine britannique Autosport écrit aujourd’hui que parmi les propositions étudiées par la FIA et les écuries s’en trouve une qui révise complètement la réglementation des essais.
Autosport a appris que cette proposition inclurait une interdiction des essais durant la saison et réduirait à deux, au lieu de trois, le nombre de séances d’essais pré-saison.
Toutefois, les équipes sont divisées quant à la pertinence de ces essais.
Certaines écuries affirment qu’ils sont essentiels pour effectuer le développement des voitures tandis que d’autres clament qu’elles ne servent à rien, sinon qu’à faire rouler des recrues sans expérience, et font gaspiller de l’argent.
James Allison, directeur technique de la Scuderia Ferrari, croit qu’une limitation des essais est une façon beaucoup plus efficace de réduire les coûts que de modifier la réglementation technique.
Par contre, Éric Boullier, directeur de la compétition chez McLaren, n’est pas de cet avis.
Boullier avance que trop de changements aux règlements en peu de temps provoque l’effet inverse de ce qui est recherché et ne fait que dépenser plus d’argent.
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| L'équipe Lotus en essais à Bahreïn. (Photo: WRi2) |