La position de conduite se trouve plutôt élevée, à l’image d’une smart. J’aime bien, car j’ai l’impression de conduire une voiture plus grosse. Sur les routes nord-américaines bondées d’énormes modèles, ma vision s’en voit ainsi moins obstruée.
Au Canada, nous aurons le choix entre trois degrés de finition : Pop, Sport et Lounge. Ils comprennent tous une boîte manuelle à cinq rapports, des vitres et des portières électriques, un siège du conducteur réglable en hauteur, un volant inclinable, sept coussins gonflables, l’assistance au démarrage en pente et une chaîne AM/FM/CD/MP3 avec six haut-parleurs de série.
Tous les modèles s’animeront d’un quatre-cylindres MultiAir de 1,4 litre et 16 soupapes développant 101 ch et 97 pi-lb de couple. Les moteurs profitant de cette technologie restent économiques et puissants et émettent jusqu’à 10 % moins de CO2. Ainsi, la cote de [link artid="99661">consommation[/link] s’élève à 6,7 L/100 km en ville et 5,1 litres sur la route.
J’ai conduit le modèle cuivré doté de la boîte manuelle à 5 vitesses, et j’ai adoré. Les rapports sont un peu longs, mais cette petite puce a du punch. La boîte fonctionne en douceur et la 500 s’éclate dans les régimes élevés.
À 90 km/h en troisième vitesse, la 500 ne se plaint pas et semble receler plus de chevaux que ne laisse croire la fiche technique.
Le bouton « sport » sur le tableau de bord modifie le rapport pédale-gaz et le réglage de la direction afin d’améliorer la dynamique de conduite.
Même si l’habitacle souffre d’un peu de bruit sur la route, la 500 se compare à tout autre produit de sa catégorie.
À quels modèles pourrait-on la comparer? Elle ne tombe pas dans la même fourchette de prix que la Mini, et elle s’annonce beaucoup plus européenne que la Yaris. À mon avis, elle s’apparentera à la nouvelle Beetle : soit on adore, soit on déteste, et les concessionnaires peuvent s’attendre à ce que les clients qui viennent les voir soient déjà décidés à l’acheter.
Nous n’avons pas beaucoup de routes tortueuses et escarpées dans notre coin, et j’ai profité de l’occasion pour vraiment brasser la Fiat. La suspension adaptée pour l’Amérique du Nord et la structure redessinée permettent à ce petit bolide d’épouser chaque courbe sur laquelle je le lançais. Malgré sa petitesse, elle demeurait toujours très bien plantée. Elle se comporte beaucoup comme une Mini, mais semble plus légère et agile.
Ce modèle italien, construit à Toluca, au Mexique, propose quelques exclusivités nord-américaines.
On parle d’une toute nouvelle boîte automatique à six rapports qu’on peut commander, d’un réservoir plus volumineux de 39,7 litres, de nouveaux freins antiblocage aux quatre coins dotés d’étriers revus et d’un système CVCA adapté aux extrêmes météorologiques de notre continent.
Le prix du modèle Pop de base s’élève à un peu moins de 16 000 $, tandis que la Sport et la Lounge coûtent 18 500 et 19 500 $, respectivement.
Les menues voitures ont la cote ces jours-ci, et la Fiat a choisi le moment idéal pour renaître. Le retour de ce modèle emblématique fut attendu avec une impressionnante anticipation. En novembre 2010, Chrysler avait lancé un programme en ligne permettant aux Canadiens de réserver une version d’édition limitée baptisée Prima Edizione. Seuls 500 exemplaires étaient offerts, et ils se sont envolés en moins de 12 heures.
Je sais que cette puce traînait une mauvaise réputation à l’époque, mais il est peu probable que la jeune génération d’aujourd’hui en ait connaissance. Ils y verront une charmante citadine à saveur italienne agréable à conduire, économique et, encore mieux, attirera les regards partout sur son passage!
Au Canada, nous aurons le choix entre trois degrés de finition : Pop, Sport et Lounge. Ils comprennent tous une boîte manuelle à cinq rapports, des vitres et des portières électriques, un siège du conducteur réglable en hauteur, un volant inclinable, sept coussins gonflables, l’assistance au démarrage en pente et une chaîne AM/FM/CD/MP3 avec six haut-parleurs de série.
Tous les modèles s’animeront d’un quatre-cylindres MultiAir de 1,4 litre et 16 soupapes développant 101 ch et 97 pi-lb de couple. Les moteurs profitant de cette technologie restent économiques et puissants et émettent jusqu’à 10 % moins de CO2. Ainsi, la cote de [link artid="99661">consommation[/link] s’élève à 6,7 L/100 km en ville et 5,1 litres sur la route.
J’ai conduit le modèle cuivré doté de la boîte manuelle à 5 vitesses, et j’ai adoré. Les rapports sont un peu longs, mais cette petite puce a du punch. La boîte fonctionne en douceur et la 500 s’éclate dans les régimes élevés.
À 90 km/h en troisième vitesse, la 500 ne se plaint pas et semble receler plus de chevaux que ne laisse croire la fiche technique.
Le bouton « sport » sur le tableau de bord modifie le rapport pédale-gaz et le réglage de la direction afin d’améliorer la dynamique de conduite.
Même si l’habitacle souffre d’un peu de bruit sur la route, la 500 se compare à tout autre produit de sa catégorie.
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| La cote de consommation s’élève à 6,7 L/100 km en ville et 5,1 litres sur la route. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |
À quels modèles pourrait-on la comparer? Elle ne tombe pas dans la même fourchette de prix que la Mini, et elle s’annonce beaucoup plus européenne que la Yaris. À mon avis, elle s’apparentera à la nouvelle Beetle : soit on adore, soit on déteste, et les concessionnaires peuvent s’attendre à ce que les clients qui viennent les voir soient déjà décidés à l’acheter.
Nous n’avons pas beaucoup de routes tortueuses et escarpées dans notre coin, et j’ai profité de l’occasion pour vraiment brasser la Fiat. La suspension adaptée pour l’Amérique du Nord et la structure redessinée permettent à ce petit bolide d’épouser chaque courbe sur laquelle je le lançais. Malgré sa petitesse, elle demeurait toujours très bien plantée. Elle se comporte beaucoup comme une Mini, mais semble plus légère et agile.
Ce modèle italien, construit à Toluca, au Mexique, propose quelques exclusivités nord-américaines.
On parle d’une toute nouvelle boîte automatique à six rapports qu’on peut commander, d’un réservoir plus volumineux de 39,7 litres, de nouveaux freins antiblocage aux quatre coins dotés d’étriers revus et d’un système CVCA adapté aux extrêmes météorologiques de notre continent.
Le prix du modèle Pop de base s’élève à un peu moins de 16 000 $, tandis que la Sport et la Lounge coûtent 18 500 et 19 500 $, respectivement.
Les menues voitures ont la cote ces jours-ci, et la Fiat a choisi le moment idéal pour renaître. Le retour de ce modèle emblématique fut attendu avec une impressionnante anticipation. En novembre 2010, Chrysler avait lancé un programme en ligne permettant aux Canadiens de réserver une version d’édition limitée baptisée Prima Edizione. Seuls 500 exemplaires étaient offerts, et ils se sont envolés en moins de 12 heures.
Je sais que cette puce traînait une mauvaise réputation à l’époque, mais il est peu probable que la jeune génération d’aujourd’hui en ait connaissance. Ils y verront une charmante citadine à saveur italienne agréable à conduire, économique et, encore mieux, attirera les regards partout sur son passage!
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