Le constructeur Fisker, après avoir licencié 75 % de ses employés la semaine dernière, serait acculé à la faillite, selon ce qu’a rapporté Reuters. Les dirigeants du groupe ont jusqu’à vendredi pour prendre une décision définitive quant à l’avenir de Fisker. D’ailleurs, les avocats de la société auraient déjà rempli les documents de faillite et seraient prêts à les déposer.
Le groupe ne possèderait plus que 30 millions $ en liquidités et le Département américain de l'Énergie, créancier principal de Fisker, exige le remboursement d’un prêt de 200 millions $. Un premier versement de 10 millions doit être fait au plus tard le 22 avril.
Depuis sa création, la compagnie a été poursuivie par la malchance : le lancement de la Fisker Karma a été fait plus tard que prévu et A123 Systems, la société qui fournissait les batteries, a fait faillite, forçant l’arrêt de la production de la Karma l’été dernier.
Par la suite, la majorité des véhicules ont été rappelés après que l’un deux ait pris feu et le groupe a perdu 300 voitures lors de l’ouragan Sandy. Le Département américain de l’Énergie a donc coupé les vivres à Fisker et exigé le remboursement de son prêt.
Une vente de dernière minute n’est pas exclue, mais les probabilités s’amenuisent de jour en jour.
Source: Reuters
Le groupe ne possèderait plus que 30 millions $ en liquidités et le Département américain de l'Énergie, créancier principal de Fisker, exige le remboursement d’un prêt de 200 millions $. Un premier versement de 10 millions doit être fait au plus tard le 22 avril.
Depuis sa création, la compagnie a été poursuivie par la malchance : le lancement de la Fisker Karma a été fait plus tard que prévu et A123 Systems, la société qui fournissait les batteries, a fait faillite, forçant l’arrêt de la production de la Karma l’été dernier.
Par la suite, la majorité des véhicules ont été rappelés après que l’un deux ait pris feu et le groupe a perdu 300 voitures lors de l’ouragan Sandy. Le Département américain de l’Énergie a donc coupé les vivres à Fisker et exigé le remboursement de son prêt.
Une vente de dernière minute n’est pas exclue, mais les probabilités s’amenuisent de jour en jour.
Source: Reuters
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| Photo: Fisker |