Évidemment, le biturbo et la transmission intégrale de la SHO impressionnent sur papier aussi. Ce n’est pas une STI, mais si une machine doit satisfaire tous vos besoins de plaisir automobile, la SHO commence à faire belle figure.
Comment donc s’en est-elle tirée?
Pas mal du tout!
Un apprentissage en tout confort
D’abord, le généreux dégagement pour la tête et les sièges électriques à mémorisation vous permettent de trouver et d’enregistrer une bonne position de conduite droite pour la piste… même quand on porte un casque.
Une fois aligné, au signal d’entrée en piste, on n’a pas droit à un cinéma de roues patinantes quand le drapeau tombe. Les pneus avant de la SHO patinent légèrement à mesure que la puissance est acheminée à l’essieu arrière, et la voiture s’élance énergiquement sur une vague de dynamisme silencieux à injection directe. Même en gagnant de la confiance à l’approche des limites de freinage et de tenue de route, le pilote peut toujours exploiter une manne de puissance et dévorer les lignes droites entre deux coins.
Livraison confiante de puissance, tenue prévisible
La transmission intégrale de la Taurus SHO inspire la confiance par mauvais temps sur la route, et elle a le même effet sur la piste aussi. Malgré des sensations qui évoquent nettement un entraînement à traction, le système permet à la voiture de sortir résolument d’un virage à pleins gaz, les effets de couple et de sous-virage étant maintenus au minimum.
Alors que la direction est légère et plutôt inconséquente, tant du côté de l’effort que des sensations, la suspension s’impose rapidement lorsque malmenée et maintient le calme prévisible de la voiture, même quand le pilote pousse la note dans certains virages.
Emportez-vous un peu, et la SHO proteste à coup de sous-virage sécuritaire et prévisible qui se corrige facilement en relâchant l’accélérateur. On peut également désactiver complètement l’antipatinage.
Et non, vous ne chavirerez pas si vous exagérez en coin. En effet, l’effet de roulis est bien maîtrisé vu la taille de la machine.
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| Le généreux dégagement pour la tête et les sièges électriques à mémorisation vous permettent de trouver et d’enregistrer une bonne position de conduite droite pour la piste. (Photo: Ford) |
Comment donc s’en est-elle tirée?
Pas mal du tout!
Un apprentissage en tout confort
D’abord, le généreux dégagement pour la tête et les sièges électriques à mémorisation vous permettent de trouver et d’enregistrer une bonne position de conduite droite pour la piste… même quand on porte un casque.
Une fois aligné, au signal d’entrée en piste, on n’a pas droit à un cinéma de roues patinantes quand le drapeau tombe. Les pneus avant de la SHO patinent légèrement à mesure que la puissance est acheminée à l’essieu arrière, et la voiture s’élance énergiquement sur une vague de dynamisme silencieux à injection directe. Même en gagnant de la confiance à l’approche des limites de freinage et de tenue de route, le pilote peut toujours exploiter une manne de puissance et dévorer les lignes droites entre deux coins.
Livraison confiante de puissance, tenue prévisible
La transmission intégrale de la Taurus SHO inspire la confiance par mauvais temps sur la route, et elle a le même effet sur la piste aussi. Malgré des sensations qui évoquent nettement un entraînement à traction, le système permet à la voiture de sortir résolument d’un virage à pleins gaz, les effets de couple et de sous-virage étant maintenus au minimum.
Alors que la direction est légère et plutôt inconséquente, tant du côté de l’effort que des sensations, la suspension s’impose rapidement lorsque malmenée et maintient le calme prévisible de la voiture, même quand le pilote pousse la note dans certains virages.
Emportez-vous un peu, et la SHO proteste à coup de sous-virage sécuritaire et prévisible qui se corrige facilement en relâchant l’accélérateur. On peut également désactiver complètement l’antipatinage.
Et non, vous ne chavirerez pas si vous exagérez en coin. En effet, l’effet de roulis est bien maîtrisé vu la taille de la machine.
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| Emportez-vous un peu, et la SHO proteste à coup de sous-virage sécuritaire et prévisible qui se corrige facilement en relâchant l’accélérateur. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |