Ce qui aide, selon M. Bischoff, c’est que la marque a une âme, et que toute personne impliquée dans la création de la prochaine Volkswagen sonde cette âme. Cela s’applique à toute l’équipe, y compris Walter Da Silva, un autre dieu du design à juste titre.
Il a poursuivi en me précisant que le processus de conception entier ne représente que 3 % de l’effort total requis pour « fabriquer » une nouvelle voiture.
Ma prochaine question ressemblait à ceci : « Qu’est-ce qui revêt donc le plus d’importance pour Volkswagen pour sa marche vers le sommet? Le style ou la conduite? ».
« Le style et la conduite sont fortement liés », m’a-t-il répondu. Évidemment, si le prochain modèle ressemble à une Volkswagen, mais se comporte comme un tracteur, ou vice versa, le groupe de Wolfsburg serait aussi bien de fermer ses portes aujourd’hui.
En songeant à l’avenir, j’ai demandé à M. Bischoff si cet engouement pour les trames esthétiques communes à tous les produits d’une marque n’est qu’une phase, si la tendance s’estompera. Il m’a répondu en deux temps. D’abord, « un degré esthétique crée un catalogue complet ». C’est vrai qu’en plaçant une Polo à côté d’une Golf à côté d’une Passat, etc., on obtient une impression de continuité, d’un ensemble fini.
Il a ajouté que le style évolue : « Le concept Bulli pourrait représenter un nouveau virage de ce côté-là. À l’avenir, on conservera un seul thème esthétique qui se divisera toutefois en catégories : VUS, berlines, haute performance, etc. Chaque catégorie aura sa propre identité, mais on y reconnaîtra toujours des Volkswagen ». D’après ce qu’il m’a dit, on commencera à voir cette tendance entre 2014 et 2016.
À ce moment dans notre conversation, il m’a expliqué le sens de « perfectionné visuellement », terme dans le communiqué de presse du Volkswagen Tiguan 2012. Voici comment il a décrit la classification esthétique future de VW : « La stratégie partira du sommet en descendant. Elle enrichira [le modèle inférieur] en passant du Touareg au Tiguan, par exemple ».
 |
| Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com |
Il a poursuivi en me précisant que le processus de conception entier ne représente que 3 % de l’effort total requis pour « fabriquer » une nouvelle voiture.
Ma prochaine question ressemblait à ceci : « Qu’est-ce qui revêt donc le plus d’importance pour Volkswagen pour sa marche vers le sommet? Le style ou la conduite? ».
« Le style et la conduite sont fortement liés », m’a-t-il répondu. Évidemment, si le prochain modèle ressemble à une Volkswagen, mais se comporte comme un tracteur, ou vice versa, le groupe de Wolfsburg serait aussi bien de fermer ses portes aujourd’hui.
En songeant à l’avenir, j’ai demandé à M. Bischoff si cet engouement pour les trames esthétiques communes à tous les produits d’une marque n’est qu’une phase, si la tendance s’estompera. Il m’a répondu en deux temps. D’abord, « un degré esthétique crée un catalogue complet ». C’est vrai qu’en plaçant une Polo à côté d’une Golf à côté d’une Passat, etc., on obtient une impression de continuité, d’un ensemble fini.
Il a ajouté que le style évolue : « Le concept Bulli pourrait représenter un nouveau virage de ce côté-là. À l’avenir, on conservera un seul thème esthétique qui se divisera toutefois en catégories : VUS, berlines, haute performance, etc. Chaque catégorie aura sa propre identité, mais on y reconnaîtra toujours des Volkswagen ». D’après ce qu’il m’a dit, on commencera à voir cette tendance entre 2014 et 2016.
À ce moment dans notre conversation, il m’a expliqué le sens de « perfectionné visuellement », terme dans le communiqué de presse du Volkswagen Tiguan 2012. Voici comment il a décrit la classification esthétique future de VW : « La stratégie partira du sommet en descendant. Elle enrichira [le modèle inférieur] en passant du Touareg au Tiguan, par exemple ».
 |
| Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com |