C’est vraisemblablement le 1er juin prochain que General Motors se placera officiellement sous la protection du Chapitre XI, la loi sur les faillites, pour sa division américaine. C’est du moins ce qui ressort des principales analyses faites au cours des derniers jours, et de la proposition faite par le gouvernement américain aux dirigeants de General Motors.
Selon les informations disponibles, le gouvernement Obama aura accepté d’injecter quelque 30 milliards de dollars supplémentaires dans GM, dont 8 milliards remboursables directement. Avec une telle injection d’argent, les dettes obligatoires de la compagnie, un total de 27 milliards, seraient transformés en actions, et le gouvernement américain détiendrait 72,5 pourcent des parts totales de la compagnie.
Malgré toutes ces contributions, il semble bien que GM se dirige tout de même vers la faillite dès la semaine prochaine. En se basant sur l’expérience, plutôt réussie, de Chrysler jusqu’à maintenant, le grand constructeur pourrait ainsi appliquer son plan total de restructuration, que les créanciers pourraient approuver en fonction des nouvelles offres faites.
Déjà, quelques créanciers ont approuvé cette proposition, leur permettant de récupérer 10% des actions de la compagnie. Mais la nouvelle offre prévoit aussi des options pour l’acquisition de 15% du nouveau GM une fois la restructuration complétée.
Les créanciers ont jusqu’au 31 mai, 17 heures, pour donner leur aval aux propositions, quelques heures avant que la compagnie n’enregistre officiellement sa faillite.
Notons que selon les informations disponibles, une telle proposition n’affecterait pas la division canadienne qui, à l’image de Chrysler, ne serait pas placée sous la protection de la loi sur les faillites. En revanche, une contribution financière de plusieurs milliards de dollars sera aussi versée à GM pour compléter sa restructuration.
photo:General Motors
Selon les informations disponibles, le gouvernement Obama aura accepté d’injecter quelque 30 milliards de dollars supplémentaires dans GM, dont 8 milliards remboursables directement. Avec une telle injection d’argent, les dettes obligatoires de la compagnie, un total de 27 milliards, seraient transformés en actions, et le gouvernement américain détiendrait 72,5 pourcent des parts totales de la compagnie.
Malgré toutes ces contributions, il semble bien que GM se dirige tout de même vers la faillite dès la semaine prochaine. En se basant sur l’expérience, plutôt réussie, de Chrysler jusqu’à maintenant, le grand constructeur pourrait ainsi appliquer son plan total de restructuration, que les créanciers pourraient approuver en fonction des nouvelles offres faites.
Déjà, quelques créanciers ont approuvé cette proposition, leur permettant de récupérer 10% des actions de la compagnie. Mais la nouvelle offre prévoit aussi des options pour l’acquisition de 15% du nouveau GM une fois la restructuration complétée.
Les créanciers ont jusqu’au 31 mai, 17 heures, pour donner leur aval aux propositions, quelques heures avant que la compagnie n’enregistre officiellement sa faillite.
Notons que selon les informations disponibles, une telle proposition n’affecterait pas la division canadienne qui, à l’image de Chrysler, ne serait pas placée sous la protection de la loi sur les faillites. En revanche, une contribution financière de plusieurs milliards de dollars sera aussi versée à GM pour compléter sa restructuration.
photo:General Motors