Comme d’habitude, Honda a créé une Civic qu’on se fait un réel plaisir de conduire. Les sièges à réglage manuel sont faciles à positionner, et 30 secondes suffisent pour trouver le confort. Les réglages du siège du passager sont les mêmes que pour celui du conducteur, et je dois avouer que le premier est tout aussi confortable que le second.
Ceux relégués à l’arrière trouveraient toutefois l’espace un tantinet serré si j’étais le conducteur. L’espace entre les sièges avant et arrière est un peu restreint si c’est moi qui conduis et c’est mon fils de 187 cm qui est assis derrière moi. Assis derrière sa plus petite, et plus obligeante mère, il jouit de plus de place. Mon fils de taille standard peut s’asseoir confortablement derrière moi. La grande échalote a suffisamment de place pour sa tête, tandis que le petit défenseur et ses épaules carrées y trouvent aussi leur compte.
La Civic réussit facilement à nous apprivoiser, puisque Honda infuse chaque véhicule d’un peu de fougue. En effet, le constructeur a tendance à parader toutes ses nouvelles technologies dans ses voitures de base et d’entrée de gamme. On n’y trouve pas de grandes nouveautés cette année, seulement quelques perfectionnements. Les 140 chevaux proviennent d’un moteur i-VTEC de 1,8 litre à quatre cylindres en ligne à SACT et à 16 soupapes. Côté boîte de vitesses, on a le choix entre une manuelle à cinq rapports ô combien ravissante et une automatique à cinq rapports commandée électroniquement avec contrôle logique qui s’avère presque aussi emballante que sa sœur manuelle.
Une suspension qui lève le nez sur les tranquilles familiales assure votre confort sur les lignes droites comme dans les courbes. À l’avant, Honda fait appel à la jambe MacPherson avec levier de contrôle ainsi qu’à une barre stabilisatrice. Une suspension à double fourchette et à bras réactif et une barre stabilisatrice ont pour mission d’ancrer l’arrière de la Civic.
Certains puristes estiment que la suspension à double fourchette devrait être utilisée à toutes les sauces, mais Honda prétend qu’elle ne l’emporte sur la suspension MacPherson qu’en conditions extrêmes. Par ailleurs, la jambe MacPherson est plus compacte et laisse plus de place sous le capot pour le moteur.
Tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ai eu bien du plaisir à aller ici et là en faisant du slalom entre les nids-de-poule et le bitume mutilé. La suspension ne s’est pas avérée trop raide pour les fois où j’ai mal calculé et foncé tout droit dans un de ces cratères. S’insérer et s’extirper d’espaces de stationnement est aussi facile que changer de voie. On peut percevoir les quatre coins de la voiture, et la direction assistée électriquement ne demande qu’un effort minime.
En sourires par kilomètre, la Civic figure toujours en tête de liste des voitures à conduire!
photo:Charles Renny
Ceux relégués à l’arrière trouveraient toutefois l’espace un tantinet serré si j’étais le conducteur. L’espace entre les sièges avant et arrière est un peu restreint si c’est moi qui conduis et c’est mon fils de 187 cm qui est assis derrière moi. Assis derrière sa plus petite, et plus obligeante mère, il jouit de plus de place. Mon fils de taille standard peut s’asseoir confortablement derrière moi. La grande échalote a suffisamment de place pour sa tête, tandis que le petit défenseur et ses épaules carrées y trouvent aussi leur compte.
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| Les 140 chevaux proviennent d’un moteur i-VTEC à quatre cylindres de 1,8 litre. |
La Civic réussit facilement à nous apprivoiser, puisque Honda infuse chaque véhicule d’un peu de fougue. En effet, le constructeur a tendance à parader toutes ses nouvelles technologies dans ses voitures de base et d’entrée de gamme. On n’y trouve pas de grandes nouveautés cette année, seulement quelques perfectionnements. Les 140 chevaux proviennent d’un moteur i-VTEC de 1,8 litre à quatre cylindres en ligne à SACT et à 16 soupapes. Côté boîte de vitesses, on a le choix entre une manuelle à cinq rapports ô combien ravissante et une automatique à cinq rapports commandée électroniquement avec contrôle logique qui s’avère presque aussi emballante que sa sœur manuelle.
Une suspension qui lève le nez sur les tranquilles familiales assure votre confort sur les lignes droites comme dans les courbes. À l’avant, Honda fait appel à la jambe MacPherson avec levier de contrôle ainsi qu’à une barre stabilisatrice. Une suspension à double fourchette et à bras réactif et une barre stabilisatrice ont pour mission d’ancrer l’arrière de la Civic.
Certains puristes estiment que la suspension à double fourchette devrait être utilisée à toutes les sauces, mais Honda prétend qu’elle ne l’emporte sur la suspension MacPherson qu’en conditions extrêmes. Par ailleurs, la jambe MacPherson est plus compacte et laisse plus de place sous le capot pour le moteur.
Tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ai eu bien du plaisir à aller ici et là en faisant du slalom entre les nids-de-poule et le bitume mutilé. La suspension ne s’est pas avérée trop raide pour les fois où j’ai mal calculé et foncé tout droit dans un de ces cratères. S’insérer et s’extirper d’espaces de stationnement est aussi facile que changer de voie. On peut percevoir les quatre coins de la voiture, et la direction assistée électriquement ne demande qu’un effort minime.
En sourires par kilomètre, la Civic figure toujours en tête de liste des voitures à conduire!
photo:Charles Renny
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