Une fois à plat, il ajoute 30 centimètres (1 pied) à la surface de chargement de 1,52 mètres (5 pieds) de la caisse, ce qui est suffisant pour charger de longs madriers, des panneaux de contre-plaqué ou deux motocross, puisque ce hayon peut supporter une charge de 137 kilos (300 livres).
Au chapitre du remorquage, le couple de 245 livres-pied que produit le V6 de 3,5 litres permet à la Ridgeline de tirer des charges comme une roulotte ou une remorque transportant deux VTT. Bref, ce moteur qu'elle partage avec l'utilitaire Pilot et la fourgonnette Odyssey lui attribue une capacité de charge maximale de 2268 kilos (5000 livres). Pour remorquer une charge plus lourde, il faut opter pour une plus grosse camionnette équipée d'un V8 (moteur plus énergivore), comme la Chevrolet Avalanche.
Sans charge ni remorque, la Ridgeline peut accélérer de 0 à 100 km/h en moins de 9 secondes, un temps qui convient parfaitement à une vocation familiale.
Impression de solidité
D'ailleurs, la conduite de la Ridgeline révèle un comportement plus proche de celui d'une automobile. La structure très rigide, qui laisse paraître très peu de bruits et de vibrations parasites, inspire une grande confiance au conducteur.
La transmission intégrale VTM-4 que partage la Ridgeline avec le Pilot est du type réactif. En conditions normales, elle n'entraîne que les roues avant. Cependant, dès qu'une roue se met à glisser, un transfert de couple s'opère vers les roues arrière. Jusqu'à 70 % du couple peut être redirigé aux roues arrière de façon imperceptible pour les occupants du véhicule. En outre, un système de verrouillage permet de bloquer le différentiel arrière pour aider à extirper la Ridgeline d'un sol trop instable. Le verrouillage se désactive dès que le véhicule atteint 29 km/h.
Malgré son gabarit imposant, la Ridgeline se révèle agile. Sa servodirection est précise, et l'assistance, bien dosée. Sa suspension n'est pas trop ferme, et la visibilité est nettement supérieure à celle des autres camionnettes. En effet, la partie supérieure des ailes de sa caisse présente une pente de 5 centimètres vers l'arrière. De plus, la partie supérieure du battant est décalée de 5 centimètres additionnels par rapport aux ailes. Ces centimètres contribuent à donner au conducteur un meilleur champ de vision vers l'arrière, ce qui facilite d'autant les manoeuvres de stationnement.
En 2006, la Ridgeline talonnait l'Avalanche au chapitre des ventes, tant au Canada qu'aux États-Unis. Un constat qui confirme le succès d'un véhicule à la formule unique.
Espace intérieur généreux
Coffre à bagages dans la caisse de conception originale
Hayon de caisse à double action pratique
Moteur performant
Boîte de vitesses souple
Silhouette qui ne laisse personne indifférent
Visibilité arrière réduite
Système de chauffage perfectible
Consommation importante
photo:Luc Gagné
Au chapitre du remorquage, le couple de 245 livres-pied que produit le V6 de 3,5 litres permet à la Ridgeline de tirer des charges comme une roulotte ou une remorque transportant deux VTT. Bref, ce moteur qu'elle partage avec l'utilitaire Pilot et la fourgonnette Odyssey lui attribue une capacité de charge maximale de 2268 kilos (5000 livres). Pour remorquer une charge plus lourde, il faut opter pour une plus grosse camionnette équipée d'un V8 (moteur plus énergivore), comme la Chevrolet Avalanche.
Sans charge ni remorque, la Ridgeline peut accélérer de 0 à 100 km/h en moins de 9 secondes, un temps qui convient parfaitement à une vocation familiale.
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| Originale certes, mais également un véhicule à tout faire bien né. |
Impression de solidité
D'ailleurs, la conduite de la Ridgeline révèle un comportement plus proche de celui d'une automobile. La structure très rigide, qui laisse paraître très peu de bruits et de vibrations parasites, inspire une grande confiance au conducteur.
La transmission intégrale VTM-4 que partage la Ridgeline avec le Pilot est du type réactif. En conditions normales, elle n'entraîne que les roues avant. Cependant, dès qu'une roue se met à glisser, un transfert de couple s'opère vers les roues arrière. Jusqu'à 70 % du couple peut être redirigé aux roues arrière de façon imperceptible pour les occupants du véhicule. En outre, un système de verrouillage permet de bloquer le différentiel arrière pour aider à extirper la Ridgeline d'un sol trop instable. Le verrouillage se désactive dès que le véhicule atteint 29 km/h.
Malgré son gabarit imposant, la Ridgeline se révèle agile. Sa servodirection est précise, et l'assistance, bien dosée. Sa suspension n'est pas trop ferme, et la visibilité est nettement supérieure à celle des autres camionnettes. En effet, la partie supérieure des ailes de sa caisse présente une pente de 5 centimètres vers l'arrière. De plus, la partie supérieure du battant est décalée de 5 centimètres additionnels par rapport aux ailes. Ces centimètres contribuent à donner au conducteur un meilleur champ de vision vers l'arrière, ce qui facilite d'autant les manoeuvres de stationnement.
En 2006, la Ridgeline talonnait l'Avalanche au chapitre des ventes, tant au Canada qu'aux États-Unis. Un constat qui confirme le succès d'un véhicule à la formule unique.
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Coffre à bagages dans la caisse de conception originale
Hayon de caisse à double action pratique
Moteur performant
Boîte de vitesses souple
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Silhouette qui ne laisse personne indifférent
Visibilité arrière réduite
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Système de chauffage perfectible
Consommation importante
photo:Luc Gagné
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