Les voitures ont besoin d’essence et d’huile comme nous avons besoin d’eau et de nourriture. Si vous négligez votre alimentation, votre corps en souffrira. De la même manière, votre auto requiert les bons fluides et un entretien régulier pour maintenir sa bonne santé mécanique.
Concrètement, l’huile sépare et lubrifie les pièces en mouvement, évite la formation de dépôts, empêche les saletés de s'incruster dans votre moteur, refroidit et protège de la chaleur qu'il génère lorsqu'il est en fonction.
C'est bien beau de connaître son importance, mais quand faut-elle la changer?
La réponse varie selon votre véhicule et se retrouve dans votre manuel du propriétaire. Si vous l'avez jeté pour vous procurer plus d'espace dans votre coffre à gants, il est généralement possible de la consulter en version électronique sur internet ou bien de contacter un point de vente du fabricant de votre véhicule.
S'il est mentionné que vous devez changer l'huile aux 4 mois ou 8 000 kilomètres et que vous avez franchi moins que la distance indiquée, faites-le quand même et assurez-vous que le filtre est toujours remplacé.
L'âge de votre voiture, son moteur (par exemple, turbocompressé ou atmosphérique), la température, la durée/longueur de vos déplacements et d'autres facteurs influenceront à quel point l'huile se dégradera, épaissira et aura besoin d'être substituée.
Maintenant que vous connaissez son rôle et que vous savez comment déterminer le meilleur moment pour la changer, vous pouvez vous pencher sur quel type choisir.
Elles sont toutes fabriquées à partir d'un mélange d'huiles de bases (70 à 85%) et d'additifs (15 à 25%). Ces derniers modifient ou ajoutent des propriétés autorisant notamment d'éviter la corrosion et l'oxydation, réduire la friction et/ou favoriser le fonctionnement de moteurs ayant un kilométrage élevé.
Comme tous les véhicules sont assujettis à des changements de température et plus particulièrement dans des régions du monde comme au Canada, ils se doivent d'utiliser de l'huile multigrade. Il existe également de la monograde, mais celle-ci n'est pas vraiment conseillée, comme elle s'adapte moins aux variations du mercure. Nous allons donc nous concentrer sur la multigrade, identifiable par sa classification en deux parties.
Concrètement, l’huile sépare et lubrifie les pièces en mouvement, évite la formation de dépôts, empêche les saletés de s'incruster dans votre moteur, refroidit et protège de la chaleur qu'il génère lorsqu'il est en fonction.
C'est bien beau de connaître son importance, mais quand faut-elle la changer?
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La réponse varie selon votre véhicule et se retrouve dans votre manuel du propriétaire. Si vous l'avez jeté pour vous procurer plus d'espace dans votre coffre à gants, il est généralement possible de la consulter en version électronique sur internet ou bien de contacter un point de vente du fabricant de votre véhicule.
S'il est mentionné que vous devez changer l'huile aux 4 mois ou 8 000 kilomètres et que vous avez franchi moins que la distance indiquée, faites-le quand même et assurez-vous que le filtre est toujours remplacé.
L'âge de votre voiture, son moteur (par exemple, turbocompressé ou atmosphérique), la température, la durée/longueur de vos déplacements et d'autres facteurs influenceront à quel point l'huile se dégradera, épaissira et aura besoin d'être substituée.
Maintenant que vous connaissez son rôle et que vous savez comment déterminer le meilleur moment pour la changer, vous pouvez vous pencher sur quel type choisir.
Elles sont toutes fabriquées à partir d'un mélange d'huiles de bases (70 à 85%) et d'additifs (15 à 25%). Ces derniers modifient ou ajoutent des propriétés autorisant notamment d'éviter la corrosion et l'oxydation, réduire la friction et/ou favoriser le fonctionnement de moteurs ayant un kilométrage élevé.
Comme tous les véhicules sont assujettis à des changements de température et plus particulièrement dans des régions du monde comme au Canada, ils se doivent d'utiliser de l'huile multigrade. Il existe également de la monograde, mais celle-ci n'est pas vraiment conseillée, comme elle s'adapte moins aux variations du mercure. Nous allons donc nous concentrer sur la multigrade, identifiable par sa classification en deux parties.
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