En matière d'équipement, pas de sacrifice non plus. La version la plus chère, baptisée Technologie, propose une gamme tout à fait à la hauteur : chaîne audio de qualité, commandes redondantes au volant et système de navigation par satellite.
Les sièges sont aussi remarquablement confortables. Leur forme permet de bien entourer le conducteur et son passager (même ceux à l'arrière sont confortables) et procurent un soutien dans presque tous les styles de conduite.
Enfin, difficile d'oublier l'espace, abondant pour la tête et les jambes, et le vaste coffre aisément accessible grâce à un seuil pas trop élevé.
Et une conduite sans défaut
Évidemment, c'est au volant qu'on évalue si oui ou non une voiture nous plaira. Et quand on s'assied derrière le volant de la Genesis, on se sent en sécurité, et en pleine maîtrise.
L'une des rares propulsions sur le marché, la Genesis s'est montrée agréablement maniable et facile à maîtriser dans toutes les conditions.
Il est exact de dire qu'elle demande cependant un peu d'habitude. Conduire une propulsion ne fait en effet plus partie des réflexes acquis à nos cours de conduite, il y a quelques dizaines d'années. Il faut donc prévoir le mouvement de la voiture et agir avec discernement en accélération, surtout en sortie de courbe et quand la chaussée est glissante.
Et c'est aussi sur la glace et dans la neige que j'ai eu l'occasion de mettre la Genesis à l'épreuve; il m'a bien fallu un peu de concentration au début, mais dès le réflexe revenu, la grande Hyundai s'est révélée d'une maniabilité étonnante. Bien équilibrée et munie d'une direction pas tellement bavarde mais précise, elle permet une conduite agréable, inspirée même dans certaines conditions.
Quant au moteur, le V6 de 3,8 litres, il déchaîne ses 290 chevaux presque imperceptiblement, offrant toute la puissance nécessaire (je sais, la Genesis propose aussi un V8 en option, mais je n'ai jamais regretté de ne pas le conduire) sans jamais se montrer hargneux ou essoufflé. Même la sonorité ne donne jamais l'impression que le moteur est à bout de ressources.
Les sièges sont aussi remarquablement confortables. Leur forme permet de bien entourer le conducteur et son passager (même ceux à l'arrière sont confortables) et procurent un soutien dans presque tous les styles de conduite.
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| La forme des sièges permet de bien entourer le conducteur et son passager. |
Enfin, difficile d'oublier l'espace, abondant pour la tête et les jambes, et le vaste coffre aisément accessible grâce à un seuil pas trop élevé.
Et une conduite sans défaut
Évidemment, c'est au volant qu'on évalue si oui ou non une voiture nous plaira. Et quand on s'assied derrière le volant de la Genesis, on se sent en sécurité, et en pleine maîtrise.
L'une des rares propulsions sur le marché, la Genesis s'est montrée agréablement maniable et facile à maîtriser dans toutes les conditions.
Il est exact de dire qu'elle demande cependant un peu d'habitude. Conduire une propulsion ne fait en effet plus partie des réflexes acquis à nos cours de conduite, il y a quelques dizaines d'années. Il faut donc prévoir le mouvement de la voiture et agir avec discernement en accélération, surtout en sortie de courbe et quand la chaussée est glissante.
Et c'est aussi sur la glace et dans la neige que j'ai eu l'occasion de mettre la Genesis à l'épreuve; il m'a bien fallu un peu de concentration au début, mais dès le réflexe revenu, la grande Hyundai s'est révélée d'une maniabilité étonnante. Bien équilibrée et munie d'une direction pas tellement bavarde mais précise, elle permet une conduite agréable, inspirée même dans certaines conditions.
Quant au moteur, le V6 de 3,8 litres, il déchaîne ses 290 chevaux presque imperceptiblement, offrant toute la puissance nécessaire (je sais, la Genesis propose aussi un V8 en option, mais je n'ai jamais regretté de ne pas le conduire) sans jamais se montrer hargneux ou essoufflé. Même la sonorité ne donne jamais l'impression que le moteur est à bout de ressources.
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| Le V6 de 3,8 litres déchaîne ses 290 chevaux presque imperceptiblement. |