Comportement
Évidemment, on ne conduit un mastodonte du genre de la même façon qu'une Honda Civic. Il faut savoir mesurer, prendre ses distances et redoubler de prudence dans les stationnements de centres commerciaux. Par chance, la caméra de rétrovision offerte de série reflétera tous les obstacles potentiels, lorsque vous serez en train de reculer. Malgré ses dimensions, le véhicule se faufile relativement bien dans les espaces restreints, principalement grâce au court diamètre de braquage de la direction.
Dès les premiers tours de roue, on remarque en plus des cliquetis causés par l'assemblage de l'habitacle, un nombre important de bruits de caisse et de bruits éoliens provenant notamment du toit ouvrant. Toute cette symphonie se traduit en un vacarme à ce point désagréable, que ma petite Chevrolet Aveo m'a semblé paisible à côté de ce prestigieux véhicule. Encore une fois, sur un véhicule du genre, il est totalement inadmissible d'entendre constamment de tels bruits, et j'ai peine à croire que celui qui paiera près de 85 000 $ avec taxes, acceptera de rouler avec des défauts de conception et d'assemblage si importants.
En faisait abstraction de cela, le QX56 offre un comportement routier impressionnant. La suspension est bien sûr confortable, mais le train arrière semble parfois sautillant sur des terrains accidentés. Le véhicule brille par sa stabilité directionnelle, peu commune sur un véhicule du genre, et par sa tenue de route saine et sans surprise. Évidemment, il est victime d'un important roulis en virage, mais demeure stable et prévisible. Dans le cas d'une perte de contrôle, le système de stabilité dynamique du véhicule replacera le QX56 dans le droit chemin, tout en vous rappelant que vous êtes à bord d'un camion, et non pas d'une 350Z.
Pour immobiliser ou ralentir le véhicule, Infiniti compte sur quatre disques ventilés de 12,6 pouces de diamètre, accompagnés de l'antiblocage et de tous les systèmes électroniques. Le véhicule freine donc avec assurance, demeure stable et ne plonge que très légèrement du nez en arrêt d'urgence.
Je doute fortement que les propriétaires de ces véhicules passent beaucoup de temps dans les sentiers battus. Hors, pour ceux qui n'ont pas peur d'égratigner leur carrosse de luxe, sachez que le QX56 est équipé de façon à franchir des obstacles tout de même impressionnants. Tous les éléments mécaniques sont parfaitement protégés, et le débattement de la suspension est suffisamment important pour s'aventurer là ou l'espace le permet.
Évidemment, on ne conduit un mastodonte du genre de la même façon qu'une Honda Civic. Il faut savoir mesurer, prendre ses distances et redoubler de prudence dans les stationnements de centres commerciaux. Par chance, la caméra de rétrovision offerte de série reflétera tous les obstacles potentiels, lorsque vous serez en train de reculer. Malgré ses dimensions, le véhicule se faufile relativement bien dans les espaces restreints, principalement grâce au court diamètre de braquage de la direction.
Dès les premiers tours de roue, on remarque en plus des cliquetis causés par l'assemblage de l'habitacle, un nombre important de bruits de caisse et de bruits éoliens provenant notamment du toit ouvrant. Toute cette symphonie se traduit en un vacarme à ce point désagréable, que ma petite Chevrolet Aveo m'a semblé paisible à côté de ce prestigieux véhicule. Encore une fois, sur un véhicule du genre, il est totalement inadmissible d'entendre constamment de tels bruits, et j'ai peine à croire que celui qui paiera près de 85 000 $ avec taxes, acceptera de rouler avec des défauts de conception et d'assemblage si importants. En faisait abstraction de cela, le QX56 offre un comportement routier impressionnant. La suspension est bien sûr confortable, mais le train arrière semble parfois sautillant sur des terrains accidentés. Le véhicule brille par sa stabilité directionnelle, peu commune sur un véhicule du genre, et par sa tenue de route saine et sans surprise. Évidemment, il est victime d'un important roulis en virage, mais demeure stable et prévisible. Dans le cas d'une perte de contrôle, le système de stabilité dynamique du véhicule replacera le QX56 dans le droit chemin, tout en vous rappelant que vous êtes à bord d'un camion, et non pas d'une 350Z.
Pour immobiliser ou ralentir le véhicule, Infiniti compte sur quatre disques ventilés de 12,6 pouces de diamètre, accompagnés de l'antiblocage et de tous les systèmes électroniques. Le véhicule freine donc avec assurance, demeure stable et ne plonge que très légèrement du nez en arrêt d'urgence.
Je doute fortement que les propriétaires de ces véhicules passent beaucoup de temps dans les sentiers battus. Hors, pour ceux qui n'ont pas peur d'égratigner leur carrosse de luxe, sachez que le QX56 est équipé de façon à franchir des obstacles tout de même impressionnants. Tous les éléments mécaniques sont parfaitement protégés, et le débattement de la suspension est suffisamment important pour s'aventurer là ou l'espace le permet.