Mowgli en tenue de gala!
Depuis le lancement du Touareg, je me suis toujours demandé pourquoi le groupe VAG a choisi de commercialiser ce véhicule sous la bannière Volkswagen, plutôt qu'Audi. En excluant les marques comme Ferrari et Lamborghini, Audi est actuellement la seule à ne pas offrir d'utilitaire sport à sa clientèle. Cette décision est d'autant plus curieuse lorsqu'on reconnaît qu'Audi est pionnier dans le domaine de la traction intégrale, depuis des décennies.
En faisant connaissance avec le Touareg, on constate qu'il ne s'agit pas d'un utilitaire intermédiaire conventionnel, et qu'il s'adresse à une clientèle plus huppée, considérant généralement des véhicules comme les BMW X5 et Mercedes-Benz de Classe M. C'est pourquoi le nom Audi devrait à mon avis y être inscrit. Selon les dires des dirigeants de Volkswagen, cette marque ne s'adresse plus à la clientèle d'autrefois, et désire désormais attirer les mieux nantis. Cependant, en constatant le succès mitigé des modèles haut de gamme de la marque, on ne peut que constater la défaite du constructeur à ce niveau. La Passat W8 étant maintenant reléguée aux oubliettes, et sachant que la Phaeton ne fait que décorer les salles de montre des quelques concessionnaires qui osent en garder en inventaire, le seul véhicule de luxe susceptible d'attirer les clients fortunés est donc le Touareg.
Dès son lancement, cet utilitaire a été applaudi par la presse automobile internationale, tant pour ses qualités routières que son niveau de luxe impressionnant. Son prix de départ dépassant largement les 50 000 $, il fallait cependant observer ce véhicule avec un oeil sévère, en n'oubliant aucun détail. Mis à part sa fiabilité décevante et son moteur V6 légèrement faiblard, il est aujourd'hui difficile de trouver à redire sur ce véhicule qui, malgré les apparences, surpasse nombre de concurrents aux étiquettes plus nobles. Histoire de se démarquer davantage de la concurrence et pour faire bande à part, Volkswagen devait cependant offrir quelque chose unique. C'est pourquoi on retrouve aujourd'hui la version V10 TDI, qui ne se veut rien de moins que l'ultime utilitaire Volkswagen.
Carrosserie
Contrairement à plusieurs concurrents, le Touareg n'est pas de ceux qui présentent une allure musclée, voire macho. Il propose en contrepartie des lignes fluides, à la fois nobles et élégantes, mais qui ne feront manifestement pas tourner les têtes. Comme c'est le cas pour l'ensemble des produits de la marque, les différentes versions du Touareg se distinguent que par leurs jantes d'alliage. Vous n'y trouverez donc pas d'aileron ou de moulures supplémentaires, qui pourraient enrichir les versions plus huppées.
Depuis le lancement du Touareg, je me suis toujours demandé pourquoi le groupe VAG a choisi de commercialiser ce véhicule sous la bannière Volkswagen, plutôt qu'Audi. En excluant les marques comme Ferrari et Lamborghini, Audi est actuellement la seule à ne pas offrir d'utilitaire sport à sa clientèle. Cette décision est d'autant plus curieuse lorsqu'on reconnaît qu'Audi est pionnier dans le domaine de la traction intégrale, depuis des décennies.
En faisant connaissance avec le Touareg, on constate qu'il ne s'agit pas d'un utilitaire intermédiaire conventionnel, et qu'il s'adresse à une clientèle plus huppée, considérant généralement des véhicules comme les BMW X5 et Mercedes-Benz de Classe M. C'est pourquoi le nom Audi devrait à mon avis y être inscrit. Selon les dires des dirigeants de Volkswagen, cette marque ne s'adresse plus à la clientèle d'autrefois, et désire désormais attirer les mieux nantis. Cependant, en constatant le succès mitigé des modèles haut de gamme de la marque, on ne peut que constater la défaite du constructeur à ce niveau. La Passat W8 étant maintenant reléguée aux oubliettes, et sachant que la Phaeton ne fait que décorer les salles de montre des quelques concessionnaires qui osent en garder en inventaire, le seul véhicule de luxe susceptible d'attirer les clients fortunés est donc le Touareg.Dès son lancement, cet utilitaire a été applaudi par la presse automobile internationale, tant pour ses qualités routières que son niveau de luxe impressionnant. Son prix de départ dépassant largement les 50 000 $, il fallait cependant observer ce véhicule avec un oeil sévère, en n'oubliant aucun détail. Mis à part sa fiabilité décevante et son moteur V6 légèrement faiblard, il est aujourd'hui difficile de trouver à redire sur ce véhicule qui, malgré les apparences, surpasse nombre de concurrents aux étiquettes plus nobles. Histoire de se démarquer davantage de la concurrence et pour faire bande à part, Volkswagen devait cependant offrir quelque chose unique. C'est pourquoi on retrouve aujourd'hui la version V10 TDI, qui ne se veut rien de moins que l'ultime utilitaire Volkswagen.
Carrosserie
Contrairement à plusieurs concurrents, le Touareg n'est pas de ceux qui présentent une allure musclée, voire macho. Il propose en contrepartie des lignes fluides, à la fois nobles et élégantes, mais qui ne feront manifestement pas tourner les têtes. Comme c'est le cas pour l'ensemble des produits de la marque, les différentes versions du Touareg se distinguent que par leurs jantes d'alliage. Vous n'y trouverez donc pas d'aileron ou de moulures supplémentaires, qui pourraient enrichir les versions plus huppées.