Comportement
La principale référence visée lors du développement de la X-Type était la BMW 328, (la 330 n'était pas encore sur le marché). Les ingénieurs britanniques avaient comme objectif principal la rigidité de la structure, qualité essentielle pour obtenir un comportement de haute tenue, et la traction intégrale. La solution repose, dans le cas qui nous intéresse, sur trois diffé-rentiels dont l'élément central est pourvu d'un visco coupleur qui peut faire varier le rapport de répartition de la traction de 40 % à 85 % sur l'avant et de 60 % à 15 % sur l'arrière ou inversement, selon les conditions d'adhérence. Les autres différentiels sont dépourvus de la fonction autobloquante, mais tous les modèles peuvent être équipés, en équipement facultatif, du contrôle dyna-mique de la stabilité (DSC). Le confort que la version V6 de 3 litres équipée de la boîte manuelle à cinq rapports parvient à offrir malgré des amortisseurs sportifs et des roues de 17 pouces est plus qu'appréciable. Le moteur, très musical, se révèle très agréable à l'oreille même dans les hauts régimes. On ne perçoit que quelques bruits de roulement produits par les larges pneumatiques à profil bas. Pour le reste, on a ici affaire à une Jaguar comme on les aime. Sur chemin sinueux, l'association des pneumatiques très adhé-rents, de la traction intégrale et d'une suspension qui réussit à maintenir efficacement les roues au sol, permet des vitesses de passage en courbes très élevées et une réaccélération très tôt en sortie. Une direction pas très directe, mais très informative, et un freinage facile à doser contribuent à l'efficacité générale. La boîte ma-nuelle à cinq rapports, dérivée de celle de la Ford Mondeo, se révèle précise, mais pas extrê-mement rapide. La version 2,5 litres avec ses 194 chevaux, est plus affectée par le poids élevée de la X-Type, mais elle tire tout de même son épingle du jeu. Elle est capable de belles poin-tes de vitesse et d'une aisance remarquable, tout empreinte de confort, surtout si le tracé est sinueux.
La principale référence visée lors du développement de la X-Type était la BMW 328, (la 330 n'était pas encore sur le marché). Les ingénieurs britanniques avaient comme objectif principal la rigidité de la structure, qualité essentielle pour obtenir un comportement de haute tenue, et la traction intégrale. La solution repose, dans le cas qui nous intéresse, sur trois diffé-rentiels dont l'élément central est pourvu d'un visco coupleur qui peut faire varier le rapport de répartition de la traction de 40 % à 85 % sur l'avant et de 60 % à 15 % sur l'arrière ou inversement, selon les conditions d'adhérence. Les autres différentiels sont dépourvus de la fonction autobloquante, mais tous les modèles peuvent être équipés, en équipement facultatif, du contrôle dyna-mique de la stabilité (DSC). Le confort que la version V6 de 3 litres équipée de la boîte manuelle à cinq rapports parvient à offrir malgré des amortisseurs sportifs et des roues de 17 pouces est plus qu'appréciable. Le moteur, très musical, se révèle très agréable à l'oreille même dans les hauts régimes. On ne perçoit que quelques bruits de roulement produits par les larges pneumatiques à profil bas. Pour le reste, on a ici affaire à une Jaguar comme on les aime. Sur chemin sinueux, l'association des pneumatiques très adhé-rents, de la traction intégrale et d'une suspension qui réussit à maintenir efficacement les roues au sol, permet des vitesses de passage en courbes très élevées et une réaccélération très tôt en sortie. Une direction pas très directe, mais très informative, et un freinage facile à doser contribuent à l'efficacité générale. La boîte ma-nuelle à cinq rapports, dérivée de celle de la Ford Mondeo, se révèle précise, mais pas extrê-mement rapide. La version 2,5 litres avec ses 194 chevaux, est plus affectée par le poids élevée de la X-Type, mais elle tire tout de même son épingle du jeu. Elle est capable de belles poin-tes de vitesse et d'une aisance remarquable, tout empreinte de confort, surtout si le tracé est sinueux.