Mécanique
Le moteur prenant place sous le capot du Sorento n'est pas une surprise. En fait, il s'agit d'une mécanique bien connue puisqu'on la retrouve actuellement dans la fourgonnette Sedona, la berline Amanti et la Hyundai XG 350. Il s'agit d'un V6 de 3.5 litres développant 192 chevaux. Souple et relativement performant, ce moteur offre des accélérations et des reprises correctes, dans la plupart des situations. Cependant, le Sorento est un véhicule qui pèse lourd, accordant un handicap de plus de 100 kilos par rapport au Nissan Pathfinder. Par conséquent, le moteur travaille ardemment pour déplacer cette masse, ce qui a pour effet d'augmenter la consommation d'essence. Sans être déraisonnable, elle se situe légèrement au dessus de la moyenne, avec une cote de 15.6 litres au 100 kilomètres.
Pour accompagner ce V6, le Sorento fait appel à une boîte automatique à 4 rapports qui favorise le confort. Les changements de vitesses se font en douceur, même lorsqu'on le sollicite. Par contre, la vitesse à laquelle la boîte de vitesses réagit à vos commandes est parfois décevante, et il vous faudra prévoir un laps de temps supplémentaire pour effectuer un dépassement, le temps que la boîte rétrograde.
Pour 2004, on a ajouté la possibilité d'opter, uniquement sur la version LX, pour une boîte manuelle à 5 rapports. Je n'ai pas eu la chance de l'essayer, mais il est certain que les performances doivent être optimisées. Cependant, je doute que la popularité de ce type de transmission sur un véhicule du genre soit importante. C'est sans doute pourquoi bien des concessionnaires ont choisi de ne pas inclure cette version dans leur carnet de commandes.
Comportement
Sachant que le Sorento est construit sur un châssis autonome, j'ai été agréablement surpris du comportement général du véhicule. La suspension offre un rendement confortable malgré la présence d'un essieu rigide arrière. Cependant, sur un terrain accidenté, le Sorento sait brasser son homme, lui rappelant une fois de plus qu'il est en présence d'un véritable camion. Chaussé sur des pneus de bonnes dimensions qui sont cependant bruyants, il offre une tenue de cap intéressante et une bonne stabilité. En virage, il présente un roulis relativement prononcé, mais demeure assez stable, ce qui prouve que les masses sont bien réparties.
Le moteur prenant place sous le capot du Sorento n'est pas une surprise. En fait, il s'agit d'une mécanique bien connue puisqu'on la retrouve actuellement dans la fourgonnette Sedona, la berline Amanti et la Hyundai XG 350. Il s'agit d'un V6 de 3.5 litres développant 192 chevaux. Souple et relativement performant, ce moteur offre des accélérations et des reprises correctes, dans la plupart des situations. Cependant, le Sorento est un véhicule qui pèse lourd, accordant un handicap de plus de 100 kilos par rapport au Nissan Pathfinder. Par conséquent, le moteur travaille ardemment pour déplacer cette masse, ce qui a pour effet d'augmenter la consommation d'essence. Sans être déraisonnable, elle se situe légèrement au dessus de la moyenne, avec une cote de 15.6 litres au 100 kilomètres.Pour accompagner ce V6, le Sorento fait appel à une boîte automatique à 4 rapports qui favorise le confort. Les changements de vitesses se font en douceur, même lorsqu'on le sollicite. Par contre, la vitesse à laquelle la boîte de vitesses réagit à vos commandes est parfois décevante, et il vous faudra prévoir un laps de temps supplémentaire pour effectuer un dépassement, le temps que la boîte rétrograde.
Pour 2004, on a ajouté la possibilité d'opter, uniquement sur la version LX, pour une boîte manuelle à 5 rapports. Je n'ai pas eu la chance de l'essayer, mais il est certain que les performances doivent être optimisées. Cependant, je doute que la popularité de ce type de transmission sur un véhicule du genre soit importante. C'est sans doute pourquoi bien des concessionnaires ont choisi de ne pas inclure cette version dans leur carnet de commandes.
Comportement
Sachant que le Sorento est construit sur un châssis autonome, j'ai été agréablement surpris du comportement général du véhicule. La suspension offre un rendement confortable malgré la présence d'un essieu rigide arrière. Cependant, sur un terrain accidenté, le Sorento sait brasser son homme, lui rappelant une fois de plus qu'il est en présence d'un véritable camion. Chaussé sur des pneus de bonnes dimensions qui sont cependant bruyants, il offre une tenue de cap intéressante et une bonne stabilité. En virage, il présente un roulis relativement prononcé, mais demeure assez stable, ce qui prouve que les masses sont bien réparties.