Autre particularité aussi, en matière d'ergonomie cette fois, les boutons du système de son s’avèrent un peu trop éloignés du conducteur. Résultat: il me fallait, si je n'utilisais pas les commandes au volant, me pencher littéralement vers l'avant pour les atteindre. Petit détail, mais qui nous fait parfois quitter la route des yeux.
Quant à l'espace intérieur, il est bien aménagé, vaste et facile d'accès. Fiston n'a jamais rechigné à se glisser derrière moi sur le siège, profitant de bien assez d'espace pour ses grandes jambes de préadolescent. Je n'ai cependant pas osé le faire monter dans la 3e rangée de sièges dissimulée dans le plancher, au risque de l'entendre bougonner tout au long de la randonnée. Vous savez ce que c'est un préadolescent...
Notons aussi que l'espace de chargement est vaste et abondant, facile d'accès. Et que la deuxième rangée se replie totalement pour transporter presque tous les genres de matériaux. Malheureusement, le porte-bagages rangé à son espace sur le plancher se retrouve ainsi en pleine trajectoire des matériaux que l'on charge, et pourrait bien se faire endommager rapidement si on le laisse en place. Dilemme...
Sur la route
En conduite, le Sorento EX-V6 à traction intégrale de mon essai n'a que peu à se faire reprocher. Son moteur de 3,5 litres de 276 chevaux, jumelé à une boîte de vitesse automatique à 6 rapports, fait le travail avec aisance, voire enthousiaste, sans jamais rechigner. Et se montre parfaitement capable de se lancer à l'assaut de n'importe quel type d'accélération, tellement les départs sont étonnamment prompts, et les reprises sans délai.
Mieux encore, coincé dans le trafic, la boîte de vitesse intelligente se déplacera d'elle-même au neutre (sans votre intervention) pour économiser un maximum d'essence. Et un mode Eco vous avertit quand votre comportement est digne de mention en matière de consommation d'essence.
La direction est précise, et contrairement à bien des utilitaires sport, ne demande que peu de correction en ligne droite. Seules les suspensions, un peu trop rigides, ne rendent pas justice à l'ensemble du travail effectué sur le Sorento.
Les Coréens ont le vent dans les voiles. Et parions que ce nouveau Sorento réussira à leur donner encore un peu plus de vitesse de croisière.
Quant à l'espace intérieur, il est bien aménagé, vaste et facile d'accès. Fiston n'a jamais rechigné à se glisser derrière moi sur le siège, profitant de bien assez d'espace pour ses grandes jambes de préadolescent. Je n'ai cependant pas osé le faire monter dans la 3e rangée de sièges dissimulée dans le plancher, au risque de l'entendre bougonner tout au long de la randonnée. Vous savez ce que c'est un préadolescent...
Notons aussi que l'espace de chargement est vaste et abondant, facile d'accès. Et que la deuxième rangée se replie totalement pour transporter presque tous les genres de matériaux. Malheureusement, le porte-bagages rangé à son espace sur le plancher se retrouve ainsi en pleine trajectoire des matériaux que l'on charge, et pourrait bien se faire endommager rapidement si on le laisse en place. Dilemme...
 |
| Quant à l'espace intérieur, il est bien aménagé, vaste et facile d'accès. (Photo:Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Sur la route
En conduite, le Sorento EX-V6 à traction intégrale de mon essai n'a que peu à se faire reprocher. Son moteur de 3,5 litres de 276 chevaux, jumelé à une boîte de vitesse automatique à 6 rapports, fait le travail avec aisance, voire enthousiaste, sans jamais rechigner. Et se montre parfaitement capable de se lancer à l'assaut de n'importe quel type d'accélération, tellement les départs sont étonnamment prompts, et les reprises sans délai.
Mieux encore, coincé dans le trafic, la boîte de vitesse intelligente se déplacera d'elle-même au neutre (sans votre intervention) pour économiser un maximum d'essence. Et un mode Eco vous avertit quand votre comportement est digne de mention en matière de consommation d'essence.
La direction est précise, et contrairement à bien des utilitaires sport, ne demande que peu de correction en ligne droite. Seules les suspensions, un peu trop rigides, ne rendent pas justice à l'ensemble du travail effectué sur le Sorento.
Les Coréens ont le vent dans les voiles. Et parions que ce nouveau Sorento réussira à leur donner encore un peu plus de vitesse de croisière.
Gallerie de l'article