Selon le directeur de l’usine, Frank Fischer, l’échec des installations en Pennsylvanie était largement dû à la quantité de pièces importées et de la fluctuation des taux de change, ainsi qu’aux pratiques moins qu’idéales de main-d’œuvre.
Il n’y aura pas de syndicat à Chattanooga, et les employés devront suivre une formation en quatre temps sur une période de 10 semaines avant d’obtenir leur pleine certification. Le salaire moyen de 27 $ par heure se situe bien en deçà de la moyenne de 58 $ par heure de certains constructeurs américains. La majorité des nouveaux employés n’a aucune expérience préalable dans l’industrie automobile, et on considère ce salaire très bon pour la région.
Il y a de nombreux avantages à construire des véhicules en Amérique du Nord. Non seulement l’entreprise est-elle en mesure de suivre les goûts du marché, mais elle peut opérer des changements et corriger des problèmes beaucoup plus facilement lorsque toutes les étapes de la production se font sous le même toit ou à proximité. Outre les moteurs, importés du Mexique et de l’Allemagne, plus de 85 % des matériaux bruts pour la Passat proviennent des États-Unis.
Par ailleurs, l’usine à la fine pointe de la technologie est fière de respecter les rigoureuses normes LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) de construction durable.
Un éventail de mesures servent à réduire la consommation d’énergie ainsi que l’impact environnemental des installations. Les murs épais sont isolés à l’aide de plaques en aluminium, tandis que le toit peint en blanc dissipe la chaleur. Une nouvelle technologie de peinture sans enduit réduit les émissions de CO2 de 20 %. La peinture perdue lors de la pulvérisation est récupérée et utilisée pour fabriquer du ciment.
On collecte également l’eau de pluie afin de réduire la consommation d’eau de l’usine, bien inférieure à la norme de l’industrie. L’éclairage extérieur est assuré par des DEL écoénergétiques, et l’utilisation de lampes qui détectent le mouvement dans les bureaux permet de consommer 20 % moins d’énergie. Les ruisseaux sinueux traversant le terrain sont protégés, et la plantation judicieuse de végétaux régionaux protège la couche arable et empêche l’érosion.
À l’intérieur, l’usine est propre et bien éclairée, libre des odeurs auxquelles on pourrait s’attendre dans de telles installations. On a mis l’accent sur l’efficacité écologique, la majorité des procédés répétitifs étant effectués par des robots. Des chariots électriques chargés de pièces et de matériaux circulent silencieusement sur des rails, beaucoup plus efficaces et propres que les chariots à fourche traditionnels. Aucun pas n’est gaspillé : les travailleurs suivent un chemin tracé au sol lors de tâches complexes, et les chaînes de montage sont bâties à une hauteur confortable qui permet toutefois d’économiser les mouvements.
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| Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com |
Il n’y aura pas de syndicat à Chattanooga, et les employés devront suivre une formation en quatre temps sur une période de 10 semaines avant d’obtenir leur pleine certification. Le salaire moyen de 27 $ par heure se situe bien en deçà de la moyenne de 58 $ par heure de certains constructeurs américains. La majorité des nouveaux employés n’a aucune expérience préalable dans l’industrie automobile, et on considère ce salaire très bon pour la région.
Il y a de nombreux avantages à construire des véhicules en Amérique du Nord. Non seulement l’entreprise est-elle en mesure de suivre les goûts du marché, mais elle peut opérer des changements et corriger des problèmes beaucoup plus facilement lorsque toutes les étapes de la production se font sous le même toit ou à proximité. Outre les moteurs, importés du Mexique et de l’Allemagne, plus de 85 % des matériaux bruts pour la Passat proviennent des États-Unis.
Par ailleurs, l’usine à la fine pointe de la technologie est fière de respecter les rigoureuses normes LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) de construction durable.
Un éventail de mesures servent à réduire la consommation d’énergie ainsi que l’impact environnemental des installations. Les murs épais sont isolés à l’aide de plaques en aluminium, tandis que le toit peint en blanc dissipe la chaleur. Une nouvelle technologie de peinture sans enduit réduit les émissions de CO2 de 20 %. La peinture perdue lors de la pulvérisation est récupérée et utilisée pour fabriquer du ciment.
On collecte également l’eau de pluie afin de réduire la consommation d’eau de l’usine, bien inférieure à la norme de l’industrie. L’éclairage extérieur est assuré par des DEL écoénergétiques, et l’utilisation de lampes qui détectent le mouvement dans les bureaux permet de consommer 20 % moins d’énergie. Les ruisseaux sinueux traversant le terrain sont protégés, et la plantation judicieuse de végétaux régionaux protège la couche arable et empêche l’érosion.
À l’intérieur, l’usine est propre et bien éclairée, libre des odeurs auxquelles on pourrait s’attendre dans de telles installations. On a mis l’accent sur l’efficacité écologique, la majorité des procédés répétitifs étant effectués par des robots. Des chariots électriques chargés de pièces et de matériaux circulent silencieusement sur des rails, beaucoup plus efficaces et propres que les chariots à fourche traditionnels. Aucun pas n’est gaspillé : les travailleurs suivent un chemin tracé au sol lors de tâches complexes, et les chaînes de montage sont bâties à une hauteur confortable qui permet toutefois d’économiser les mouvements.
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| Photo: Lesley Wimbush/Auto123.com |







