Mercedes-Benz célèbre le lancement de la quatrième génération ainsi que le 25e anniversaire de sa transmission intégrale 4MATIC. La technologie prend tout son sens quand on conduit une nouvelle Mercedes-Benz comme le Coupé E 350 sur une surface glissante, comme tout bon Canadien l’hiver!
Songez à votre trajet quotidien. Croisez-vous du gravier, du sable, de l’eau ou de la boue? La technologie 4MATIC contrôle chaque roue si bien qu’on ne se rend jamais compte que l’une d’entre elles essaie de patiner.
Un sourire aux lèvres, de l’argent dans les poches
Il existe bien sûr d’autres systèmes de transmission intégrale, dont la quattro signée Audi et la xDrive de BMW. Ils utilisent des composants semblables à ceux de la 4MATIC, mais Mercedes-Benz a choisi de hausser la barre avec cette quatrième génération.
En effet, les TI nécessitent habituellement l’addition de gros dispositifs lourds, comme une boîte de transfert, afin d’acheminer la puissance à « l’autre » paire de pneus, ainsi que des essieux et des moyeux supplémentaires.
Tout cet équipement ajoute évidemment du poids au véhicule, et qui dit plus pesant dit moins économique. En repensant le système, Mercedes-Benz a réussi à atteindre pratiquement les mêmes normes de consommation pour ces produits à deux roues motrices comme 4MATIC, selon la marche à suivre de Ressources naturelles Canada.
La chasse aux électrons
Les ingénieurs de Mercedes-Benz ont sans doute décidé que les électrons pèsent moins que l’acier, car la technologie 4MATIC utilise des freins individuels pour chaque roue afin de prévenir le patinage et d’acheminer la puissance aux roues qui peuvent s’en servir. Les composants de l’ABS détectent tout patinage, tandis qu’un nouveau logiciel dicte au système de freinage les mesures à prendre.
Songez à votre trajet quotidien. Croisez-vous du gravier, du sable, de l’eau ou de la boue? La technologie 4MATIC contrôle chaque roue si bien qu’on ne se rend jamais compte que l’une d’entre elles essaie de patiner.
 |
| Photo: Mercedes-Benz |
Un sourire aux lèvres, de l’argent dans les poches
Il existe bien sûr d’autres systèmes de transmission intégrale, dont la quattro signée Audi et la xDrive de BMW. Ils utilisent des composants semblables à ceux de la 4MATIC, mais Mercedes-Benz a choisi de hausser la barre avec cette quatrième génération.
En effet, les TI nécessitent habituellement l’addition de gros dispositifs lourds, comme une boîte de transfert, afin d’acheminer la puissance à « l’autre » paire de pneus, ainsi que des essieux et des moyeux supplémentaires.
Tout cet équipement ajoute évidemment du poids au véhicule, et qui dit plus pesant dit moins économique. En repensant le système, Mercedes-Benz a réussi à atteindre pratiquement les mêmes normes de consommation pour ces produits à deux roues motrices comme 4MATIC, selon la marche à suivre de Ressources naturelles Canada.
La chasse aux électrons
Les ingénieurs de Mercedes-Benz ont sans doute décidé que les électrons pèsent moins que l’acier, car la technologie 4MATIC utilise des freins individuels pour chaque roue afin de prévenir le patinage et d’acheminer la puissance aux roues qui peuvent s’en servir. Les composants de l’ABS détectent tout patinage, tandis qu’un nouveau logiciel dicte au système de freinage les mesures à prendre.
 |
| Photo: Mercedes-Benz |