D’après Audi MediaInfo
Après s’être mérité le titre de recrue par excellence de l’édition 2010 des 24 heures du Mans, à bord une Audi R10 TDI privée, Oliver Jarvis annonce son retour à la classique mancelle. À titre de pilote Audi officiel cette fois.
Dans votre retour aux épreuves d’endurance, et au Mans, quel sera votre plus grand défi?
Les distances parcourues, et donc la durée des courses est ce qui fait toute la différence en terme de rythme, comparativement au DTM. En plus, un prototype roule beaucoup plus vite qu’une voiture de tourisme, à cause de sa conception. Physiquement, le stress des forces centrifuges est très grand.
Contrairement aux épreuves dites « sprint », le pilote n’est pas autant mis en valeur au Mans. Qu’est-ce que cela change pour vous?
Effectivement, ce n’est pas à propos de l’individu. Pour le pilote, cela veut dire trouver le meilleur compromis possible en termes de réglages. Pour les mécaniciens et les ingénieurs, c’est 24 heures de pur travail d’équipe. Personnellement, je suis impatient de prendre le départ, pour perpétuer une longue tradition britannique au Mans.
Qu’y a-t-il de si spécial à propos des 24 heures du Mans?
C’est l’environnement là-bas qui m’a le plus frappé en 2010. Tout commence avec l’inspection technique des voitures – qui débute une pleine semaine avant le départ de la course. L’atmosphère a quelque chose d’insaisissable, qui ne s’explique pas. Il faut le vivre. Pour les fans, voir passer une Audi R18 dans le virage Porsche, à pleine vitesse, doit être sensationnel.
Après s’être mérité le titre de recrue par excellence de l’édition 2010 des 24 heures du Mans, à bord une Audi R10 TDI privée, Oliver Jarvis annonce son retour à la classique mancelle. À titre de pilote Audi officiel cette fois.
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| Oliver Jarvis à bord de son Audi DTM (Photo: OliverJarvis.com) |
Dans votre retour aux épreuves d’endurance, et au Mans, quel sera votre plus grand défi?
Les distances parcourues, et donc la durée des courses est ce qui fait toute la différence en terme de rythme, comparativement au DTM. En plus, un prototype roule beaucoup plus vite qu’une voiture de tourisme, à cause de sa conception. Physiquement, le stress des forces centrifuges est très grand.
Contrairement aux épreuves dites « sprint », le pilote n’est pas autant mis en valeur au Mans. Qu’est-ce que cela change pour vous?
Effectivement, ce n’est pas à propos de l’individu. Pour le pilote, cela veut dire trouver le meilleur compromis possible en termes de réglages. Pour les mécaniciens et les ingénieurs, c’est 24 heures de pur travail d’équipe. Personnellement, je suis impatient de prendre le départ, pour perpétuer une longue tradition britannique au Mans.
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| Jarvis est un habitué des courses sprint en DTM (Photo: OliverJarvis.com) |
Qu’y a-t-il de si spécial à propos des 24 heures du Mans?
C’est l’environnement là-bas qui m’a le plus frappé en 2010. Tout commence avec l’inspection technique des voitures – qui débute une pleine semaine avant le départ de la course. L’atmosphère a quelque chose d’insaisissable, qui ne s’explique pas. Il faut le vivre. Pour les fans, voir passer une Audi R18 dans le virage Porsche, à pleine vitesse, doit être sensationnel.