En 2011, les téléphones intelligents font désormais partie de notre quotidien, fournissant une tonne de données autant dans le confort de notre foyer qu'à l'extérieur de celui-ci. À l'heure actuelle, entreprises, fabricants automobiles et organismes municipaux ont développé une panoplie d'applications nous aidant à gérer nos transports le plus efficacement que possible. Peuvent-elles vraiment avoir un impact sur la manière de concevoir nos déplacements?
Selon une étude de Latitude Research menée auprès de 18 navetteurs de Boston et de San Francisco ayant accepté d’abandonner leur voiture pour une semaine, la réponse est oui.
Les chercheurs auraient découvert que les gens sont plus disposés à adopter le transport en commun lorsqu'ils ont accès à des informations en temps réel concernant les horaires, les retards, les magasins et les services entourant leur trajet.
Évidemment, sacrifier son véhicule et se fier aux réseaux publics engendre une perte d'autonomie, mais les résultats établissent que celle-ci peut être compensée par la quantité et la pertinence des renseignements disponibles.
Une fois l'expérience terminée, les participants ont avoué se sentir plus reliés aux communautés près de leurs résidences et de leurs lieux de travail et une analyse scientifique de leurs réactions a démontré que ce sentiment d'appartenance devenait plus important avec des technologies les connectant au monde extérieur.
Par ailleurs, plusieurs ont mentionné qu'ils auraient souhaité obtenir plus de données afin de savoir si un supermarché ou un centre d'entraînement étaient à proximité lors de leur navette quotidienne.
Boston et San Francisco sont deux villes offrant toutes deux aux citoyens une panoplie d'applications pour téléphones intelligents afin qu'ils ne soient pas à la merci de l'horaire des autres.
Les conclusions de Latitude Research laissent donc présager un futur où, grâce à la technologie et l'information en temps réel, les gens pourraient voyager autant en voiture qu'en transport en commun sans pour autant sacrifier leur liberté et leur autonomie.
Source : Wired
Selon une étude de Latitude Research menée auprès de 18 navetteurs de Boston et de San Francisco ayant accepté d’abandonner leur voiture pour une semaine, la réponse est oui.
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Les chercheurs auraient découvert que les gens sont plus disposés à adopter le transport en commun lorsqu'ils ont accès à des informations en temps réel concernant les horaires, les retards, les magasins et les services entourant leur trajet.
Évidemment, sacrifier son véhicule et se fier aux réseaux publics engendre une perte d'autonomie, mais les résultats établissent que celle-ci peut être compensée par la quantité et la pertinence des renseignements disponibles.
Une fois l'expérience terminée, les participants ont avoué se sentir plus reliés aux communautés près de leurs résidences et de leurs lieux de travail et une analyse scientifique de leurs réactions a démontré que ce sentiment d'appartenance devenait plus important avec des technologies les connectant au monde extérieur.
Par ailleurs, plusieurs ont mentionné qu'ils auraient souhaité obtenir plus de données afin de savoir si un supermarché ou un centre d'entraînement étaient à proximité lors de leur navette quotidienne.
Boston et San Francisco sont deux villes offrant toutes deux aux citoyens une panoplie d'applications pour téléphones intelligents afin qu'ils ne soient pas à la merci de l'horaire des autres.
Les conclusions de Latitude Research laissent donc présager un futur où, grâce à la technologie et l'information en temps réel, les gens pourraient voyager autant en voiture qu'en transport en commun sans pour autant sacrifier leur liberté et leur autonomie.
Source : Wired