La IS F apporte une nouvelle arme au combat, cependant. Le V8 est exploité par une boîte automatique à 8 rapports : eh oui, huit rapports qui se partagent le travail de façon imperceptible en conduite normale et qui contribuent à notre moyenne de 11,4 L/100 km. Sur une route de campagne torsadée ou sur une piste, pourtant, la boîte de vitesses devient un peu frénétique, effectuant des changements de rapports sans arrêt, ce qui ne s’avère pas un gros problème.
Roulement punitif
La voiture possède peut-être les performances pour rivaliser la concurrence, mais la suspension profiterait d’un peu plus de travail.
Pas que la IS F ne puisse se débrouiller lorsque la route n’est plus en ligne droite : elle le peut. Sur une piste, la voiture se montre un tantinet moins divertissante que la M3, parce qu’elle est moins communicative. Le roulement apparaît très ferme, tout comme ses rivales, mais il manque un certain dynamisme aux amortisseurs, ce que les Allemands maîtrisent depuis des années.
Sur l’autoroute, la voiture reste calme, mais en ville, le roulement ferme devient vite agaçant. Une suspension ajustable avec un réglage pour le confort serait appréciée.
Apparence au niveau des performances
J’ai toujours trouvé que la Lexus IS était une belle petite berline : svelte, aérodynamique et attrayante. En version F, la voiture obtient un capot gonflé, des passages de roues plus larges, un aileron arrière, des embouts d’échappement superposés ainsi que des jupes de bas de caisse. La voiture roule évidemment plus près du sol.
À l’intérieur, la IS F profite d’un habitacle d’allure plus sportive, avec des garnitures au style métallisé sur la console centrale et sur les panneaux de porte. Les sièges sport en cuir sont chauffants et vous soutiennent en place, et n’oublions pas qu’il n’y a que deux places à l’arrière, et l’espace restreint rend leur accès un peu compliqué.
La chaîne audio à 13 haut-parleurs offre une sonorité impressionnante. La connectivité Bluetooth manque cruellement à l’appel, quoiqu’elle fasse partie du groupe d’options Série 2 à 4 100 $ qui inclut le système de navigation.
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| À l’intérieur, la IS F profite d’un habitacle d’allure plus sportive, avec des garnitures au style métallisé. |
Roulement punitif
La voiture possède peut-être les performances pour rivaliser la concurrence, mais la suspension profiterait d’un peu plus de travail.
Pas que la IS F ne puisse se débrouiller lorsque la route n’est plus en ligne droite : elle le peut. Sur une piste, la voiture se montre un tantinet moins divertissante que la M3, parce qu’elle est moins communicative. Le roulement apparaît très ferme, tout comme ses rivales, mais il manque un certain dynamisme aux amortisseurs, ce que les Allemands maîtrisent depuis des années.
Sur l’autoroute, la voiture reste calme, mais en ville, le roulement ferme devient vite agaçant. Une suspension ajustable avec un réglage pour le confort serait appréciée.
Apparence au niveau des performances
J’ai toujours trouvé que la Lexus IS était une belle petite berline : svelte, aérodynamique et attrayante. En version F, la voiture obtient un capot gonflé, des passages de roues plus larges, un aileron arrière, des embouts d’échappement superposés ainsi que des jupes de bas de caisse. La voiture roule évidemment plus près du sol.
À l’intérieur, la IS F profite d’un habitacle d’allure plus sportive, avec des garnitures au style métallisé sur la console centrale et sur les panneaux de porte. Les sièges sport en cuir sont chauffants et vous soutiennent en place, et n’oublions pas qu’il n’y a que deux places à l’arrière, et l’espace restreint rend leur accès un peu compliqué.
La chaîne audio à 13 haut-parleurs offre une sonorité impressionnante. La connectivité Bluetooth manque cruellement à l’appel, quoiqu’elle fasse partie du groupe d’options Série 2 à 4 100 $ qui inclut le système de navigation.
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| La voiture roule évidemment plus près du sol. |