Audi R8 5.2
De la meute, bien que la R8 soit la plus saisissante visuellement, elle en reste la plus civilisée des quatre. Étonnés? Si vous avez conduit une Audi récente, vous savez que la gang d'Ingolstadt a haussé la barre en matière de puissance, de performances et de raffinement. J'ai même critiqué certains de leurs produits plus musclés, les trouvant trop raffinés, pas assez crus. Ce qui s'applique à cette R8 alpha.
Le V10 de 5,2 litres et 525 ch est d'une douceur extrême... et d'une rapidité extrême aussi. Comme son style, la tenue de route de la R8 est ultra vive sans verser dans l'abrutissant. La moindre intervention directionnelle ou application des gaz incite la transmission intégrale Quattro à atteindre des sommets quasi impensables d'adhérence. Passer de la 911 à la R8, c'est comme se dévêtir de la chienne la plus coûteuse qui soit pour enfiler un complet signé Armani. Là où l'habitacle de la 911 est sévère, celui de la R8 est beaucoup plus enjoué.
L'aspect le plus gratifiant de la R8 5.2 est peut-être d'entendre rugir son V10 jusqu'aux 8 700 tours. Confortable pour deux, rapide pour tous et simplement trop séduisante, la R8 a tout pour plaire, sur la piste comme la route.
De la meute, bien que la R8 soit la plus saisissante visuellement, elle en reste la plus civilisée des quatre. Étonnés? Si vous avez conduit une Audi récente, vous savez que la gang d'Ingolstadt a haussé la barre en matière de puissance, de performances et de raffinement. J'ai même critiqué certains de leurs produits plus musclés, les trouvant trop raffinés, pas assez crus. Ce qui s'applique à cette R8 alpha.
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| L'aspect le plus gratifiant de la R8 5.2 est peut-être d'entendre rugir son V10 jusqu'aux 8 700 tours. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Le V10 de 5,2 litres et 525 ch est d'une douceur extrême... et d'une rapidité extrême aussi. Comme son style, la tenue de route de la R8 est ultra vive sans verser dans l'abrutissant. La moindre intervention directionnelle ou application des gaz incite la transmission intégrale Quattro à atteindre des sommets quasi impensables d'adhérence. Passer de la 911 à la R8, c'est comme se dévêtir de la chienne la plus coûteuse qui soit pour enfiler un complet signé Armani. Là où l'habitacle de la 911 est sévère, celui de la R8 est beaucoup plus enjoué.
L'aspect le plus gratifiant de la R8 5.2 est peut-être d'entendre rugir son V10 jusqu'aux 8 700 tours. Confortable pour deux, rapide pour tous et simplement trop séduisante, la R8 a tout pour plaire, sur la piste comme la route.