Depuis l'introduction de la Miata, en 1990, Mazda a compris un détail important : il ne s'agit pas seulement de fabriquer des véhicules, il faut que ce véhicule devienne le prolongement du conducteur. Les notions de plaisir et d'agrément sont devenues dogmatiques dans la mentalité de chacun des produits offerts.
Le CX-7, largement dérivé du Concept MX-Crossport de 2005, reprend intégralement toute notion du mot sport dans utilitaire sport. En plus d'une allure ravageuse encore après trois ans, les performances techniques sont au rendez-vous pour maintenir le dynamisme de la marque.
Les blocs optiques de la partie avant affichent un air agressif quand on les regarde de face, alors que, de côté, les ailes galbées lui confèrent une prestance distinguée. Les stylistes ont insufflé les lignes d'un coupé sport à un utilitaire. Bref, bravo à l'équipe Mazda !
L'intérieur présente une rigidité stylistique inhabituelle pour la catégorie. En effet, on est plus enclin à voir ce type d'intérieur chez les cousins germains que de l'autre coté du Pacifique. Par contre, la filiation avec les autres produits Mazda est frappante, les trois buses d'aération et le bloc d'instrumentation sont typiques.
Toujours aussi efficace et agréable, l'ergonomie est sans faille. La planche de bord un peu surélevée permet un accès facile aux commandes qui sont d'utilisation intuitive. Comme dans la totalité des récents produits Mazda, la finition est bonne tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Par contre, malgré une qualité certaine, les plastiques sont trop nombreux, et l'agencement des matériaux est intéressant.
L'équipement du modèle d'essai ne le démarque en rien du reste de la catégorie. On retrouve un nombre adéquat de commodités qui rendent le véhicule fonctionnel pour presque tous les types d'utilisations. Le système d'aération est très compétent. Parmi les autres bonbons offerts, on note, bien sûr, la caméra de recul et le système de navigation à écran tactile. Le système Bose a une capacité de six disques avec une sonorité répartie dans neuf haut-parleurs.
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| Le CX-7 est rapidement devenu l'un des ténors dans la catégorie des utilitaires moyens. |
Le CX-7, largement dérivé du Concept MX-Crossport de 2005, reprend intégralement toute notion du mot sport dans utilitaire sport. En plus d'une allure ravageuse encore après trois ans, les performances techniques sont au rendez-vous pour maintenir le dynamisme de la marque.
Les blocs optiques de la partie avant affichent un air agressif quand on les regarde de face, alors que, de côté, les ailes galbées lui confèrent une prestance distinguée. Les stylistes ont insufflé les lignes d'un coupé sport à un utilitaire. Bref, bravo à l'équipe Mazda !
L'intérieur présente une rigidité stylistique inhabituelle pour la catégorie. En effet, on est plus enclin à voir ce type d'intérieur chez les cousins germains que de l'autre coté du Pacifique. Par contre, la filiation avec les autres produits Mazda est frappante, les trois buses d'aération et le bloc d'instrumentation sont typiques.
Toujours aussi efficace et agréable, l'ergonomie est sans faille. La planche de bord un peu surélevée permet un accès facile aux commandes qui sont d'utilisation intuitive. Comme dans la totalité des récents produits Mazda, la finition est bonne tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Par contre, malgré une qualité certaine, les plastiques sont trop nombreux, et l'agencement des matériaux est intéressant.
L'équipement du modèle d'essai ne le démarque en rien du reste de la catégorie. On retrouve un nombre adéquat de commodités qui rendent le véhicule fonctionnel pour presque tous les types d'utilisations. Le système d'aération est très compétent. Parmi les autres bonbons offerts, on note, bien sûr, la caméra de recul et le système de navigation à écran tactile. Le système Bose a une capacité de six disques avec une sonorité répartie dans neuf haut-parleurs.
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| La planche de bord un peu surélevée permet un accès facile aux commandes qui sont d'utilisation intuitive. |