Avec ou sans la traction intégrale
Comme plusieurs multisegments du genre, le Mazda CX-7 2011 propose deux ou quatre roues motrices. Je ne vous cache pas mon affection pour la traction intégrale, malgré la consommation d'essence légèrement accrue qui en découle. Mon modèle d'essai GT en était équipé, si bien que j'ai profité à la fois d'une puissance et d'une adhérence supérieures.
C'est exact : en choisissant la traction intégrale, le quatre-cylindres atmosphérique de 2,5 litres développant 161 chevaux se voit remplacé par un moteur turbo de 2,3 litres à DACT et à injection directe. Ce dernier libère 244 chevaux à 5000 tours/minute et un couple de 258 livres-pied à 2500 tours/minute.
Il s'agit de la même mécanique qui a donné à la Mazdaspeed6 ses lettres de noblesse il y a quelques années. Sans entrer dans les détails, disons simplement que le plaisir et l'excitation sont au rendez-vous. Grâce au turbocompresseur, le petit mais redoutable moteur confère au véhicule un couple solide qui garantit une performance impressionnante.
En plus de se montrer étonnamment coriace et explosif à la moindre sollicitation de la pédale d'accélérateur, ce quatre-cylindres n'exagère pas sur le bruit et l'âpreté. En général, il se révèle doux, silencieux et même raffiné. Hormis un petit décalage du turbo (normal), la puissance coule de manière linéaire et bien proportionnée. Ce ne sont pas tous les petits moteurs à admission forcée qui peuvent en dire autant.
Peu importe son mode d'entraînement, le CX-7 mise sur une boîte automatique. La mienne comptait six rapports et un mode manuel que j'ai trouvé vraiment utile pour générer un frein moteur lors des longues descentes. Puis, quand vient le temps de remonter, la boîte trouve rapidement le bon rapport qui permet au véhicule de foncer sans perdre de momentum. Son efficacité et son aisance durant les passages rehaussent le plaisir au volant, le CX-7 se montrant tout aussi adepte à négocier les imperfections de la chaussée.
Souple sur la route, agile dans les virages
Bon nombre de multisegments ont tendance à privilégier la tenue de route et la maniabilité au détriment de la qualité du roulement. Mazda a réussi à trouver un équilibre entre ces deux dynamiques qui plaira assurément au conducteur typique.
La cerise sur le délicieux sundae qu'est le CX-7 provient des freins, bien calibrés et faciles à moduler.
Comme plusieurs multisegments du genre, le Mazda CX-7 2011 propose deux ou quatre roues motrices. Je ne vous cache pas mon affection pour la traction intégrale, malgré la consommation d'essence légèrement accrue qui en découle. Mon modèle d'essai GT en était équipé, si bien que j'ai profité à la fois d'une puissance et d'une adhérence supérieures.
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| Ce moteur turbo de 2,3 litres à DACT libère 244 chevaux à 5000 tours/minute et un couple de 258 livres-pied à 2500 tours/minute. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
C'est exact : en choisissant la traction intégrale, le quatre-cylindres atmosphérique de 2,5 litres développant 161 chevaux se voit remplacé par un moteur turbo de 2,3 litres à DACT et à injection directe. Ce dernier libère 244 chevaux à 5000 tours/minute et un couple de 258 livres-pied à 2500 tours/minute.
Il s'agit de la même mécanique qui a donné à la Mazdaspeed6 ses lettres de noblesse il y a quelques années. Sans entrer dans les détails, disons simplement que le plaisir et l'excitation sont au rendez-vous. Grâce au turbocompresseur, le petit mais redoutable moteur confère au véhicule un couple solide qui garantit une performance impressionnante.
En plus de se montrer étonnamment coriace et explosif à la moindre sollicitation de la pédale d'accélérateur, ce quatre-cylindres n'exagère pas sur le bruit et l'âpreté. En général, il se révèle doux, silencieux et même raffiné. Hormis un petit décalage du turbo (normal), la puissance coule de manière linéaire et bien proportionnée. Ce ne sont pas tous les petits moteurs à admission forcée qui peuvent en dire autant.
Peu importe son mode d'entraînement, le CX-7 mise sur une boîte automatique. La mienne comptait six rapports et un mode manuel que j'ai trouvé vraiment utile pour générer un frein moteur lors des longues descentes. Puis, quand vient le temps de remonter, la boîte trouve rapidement le bon rapport qui permet au véhicule de foncer sans perdre de momentum. Son efficacité et son aisance durant les passages rehaussent le plaisir au volant, le CX-7 se montrant tout aussi adepte à négocier les imperfections de la chaussée.
Souple sur la route, agile dans les virages
Bon nombre de multisegments ont tendance à privilégier la tenue de route et la maniabilité au détriment de la qualité du roulement. Mazda a réussi à trouver un équilibre entre ces deux dynamiques qui plaira assurément au conducteur typique.
La cerise sur le délicieux sundae qu'est le CX-7 provient des freins, bien calibrés et faciles à moduler.
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| La cerise sur le délicieux sundae qu'est le CX-7 provient des freins, bien calibrés et faciles à moduler. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |