Attention, dans ce cas précis, plaisir de conduire ne signifie pas puissance explosive. C'est bien connu, le petit moteur de 166 chevaux à peine de la MX-5 n'a pas tout ce qu'il faut pour vous décoiffer en accélération (figure de style, bien sûr, puisque, une fois le toit abaissé, finie la jolie coiffure).
Mais peu importe à quelle vitesse on roule, le moteur transmet sa puissance aux roues arrières et donne ainsi à son pilote l'impression d'être constamment en conduite sportive. Ajoutez-y une direction d'une grande précision et qui répond au moindre mouvement un peu enthousiaste, une suspension rigide (parfois un peu trop au détriment du confort, le popotin n'ayant pas suivi le même développement que la bedaine), et vous avez un véhicule qui se transforme en véritable petit kart.
En version GX, j'ai dû mettre à l'épreuve la boîte de vitesses manuelle à 5 rapports de belle façon. Les rapports sont bien étagés, seule la course du levier est parfois un peu étrange. En version GT, c'est plutôt la boîte automatique avec leviers de sélection au volant qui impressionne. Elle répond sans hésitation en montée de régime, mais tarde parfois un peu à suivre le même parcours en descente.
Malgré tout, les deux boîtes permettent d'exploiter au maximum la plus belle qualité de la petite Mazda MX-5, ses capacités dynamiques. Les virages successifs de la route qui mène au nord de Lanaudière, au Québec, ont simplement permis à la MX-5 de s'exprimer dans toute sa splendeur. Et à mon passager d'appendre qu'il avait le mal des transports, ce qui est un autre débat.
Plaisir à l'état pur
Et dernier détail, rappelons tout de même que la MX-5 est un petit cabriolet. Son toit de toile se rétracte d'une seule main et se remet en place tout aussi aisément. Les plus paresseux investiront quelques milliers de dollars de plus pour se procurer la version rigide électrique de ce même toit.
Dans les faits, peu importe son degré de finition ou sa version (la nuance entre les GS, GX et GT sont bien peu mécaniques, à l'exception de la boîte de vitesses) la Mazda MX-5 est un véritable charme à conduire. Elle me fait même oublier combien j'ai de la difficulté à m'y glisser, une fois bien installé.
photo:Marc Bouchard
Mais peu importe à quelle vitesse on roule, le moteur transmet sa puissance aux roues arrières et donne ainsi à son pilote l'impression d'être constamment en conduite sportive. Ajoutez-y une direction d'une grande précision et qui répond au moindre mouvement un peu enthousiaste, une suspension rigide (parfois un peu trop au détriment du confort, le popotin n'ayant pas suivi le même développement que la bedaine), et vous avez un véhicule qui se transforme en véritable petit kart.
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| Le pilote a constamment l'impression d'être en conduite sportive. |
En version GX, j'ai dû mettre à l'épreuve la boîte de vitesses manuelle à 5 rapports de belle façon. Les rapports sont bien étagés, seule la course du levier est parfois un peu étrange. En version GT, c'est plutôt la boîte automatique avec leviers de sélection au volant qui impressionne. Elle répond sans hésitation en montée de régime, mais tarde parfois un peu à suivre le même parcours en descente.
Malgré tout, les deux boîtes permettent d'exploiter au maximum la plus belle qualité de la petite Mazda MX-5, ses capacités dynamiques. Les virages successifs de la route qui mène au nord de Lanaudière, au Québec, ont simplement permis à la MX-5 de s'exprimer dans toute sa splendeur. Et à mon passager d'appendre qu'il avait le mal des transports, ce qui est un autre débat.
Plaisir à l'état pur
Et dernier détail, rappelons tout de même que la MX-5 est un petit cabriolet. Son toit de toile se rétracte d'une seule main et se remet en place tout aussi aisément. Les plus paresseux investiront quelques milliers de dollars de plus pour se procurer la version rigide électrique de ce même toit.
Dans les faits, peu importe son degré de finition ou sa version (la nuance entre les GS, GX et GT sont bien peu mécaniques, à l'exception de la boîte de vitesses) la Mazda MX-5 est un véritable charme à conduire. Elle me fait même oublier combien j'ai de la difficulté à m'y glisser, une fois bien installé.
photo:Marc Bouchard
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